Il passait presque toute la journée à sillonner l’université, pour vendre le journal.
« Achitii libiratioune »[1] répétait-il en continu, sans jamais se lasser.
Originaire du Baakistaane,[2] il ne parlait pas encore français et avait appris juste l’expression qui lui servait à proposer le journal à d’éventuels acheteurs.
Il avait dans les yeux la lueur d’une personne qui se souvient de Demain.
Il offrait un sourire sentant l’aube de la Vie à quiconque l’accostait.
Certains et certaines achetaient peut-être le journal juste pour le sourire du vendeur.
Et sans s’attarder, il reprenait son « appel » que j’entends encore.
À cette époque, dans les années soixante dix,[3] ce journal[4] se voulait « un acquis des événements de mai 68 ».[5]
La propagande le présentait comme une sorte de porte parole d’une révolution en devenir, un « outil de la gauche progressiste » ![6]
Ce journal avait atteint une certaine « notoriété » en con-sacrant[7] un espace à la publication d’annonces sexuelles.[8]
À l’heure de la prière, le vendeur, en ablution et recueilli, posait le paquet de journaux,[9] se mettait face à alqibla[10] et accomplissait la prière, un pilier fondamental de l’Islaam.[11]
Savait-il combien je l’enviais[12] à ce moment ?[13]
J’ai « atteri » à l’université Paris VIII-Vincennes[14] en 1972,[15] sous le règne de Georges Pompidou.
Cette université dite « expérimentale » a ouvert en 1969,[16] un peu plus d’un an après les événements du mois de mai 1968.
Les bâtiments ont été construits, paraît-il, en trois mois, sur un terrain attenant au Bois de Vincennes, connu pour la prostitution,[17] cédé par la ville de Paris à l’État pour dix ans.
Ils étaient situés à quelques minutes en autobus ou en voiture, du château de Vincennes.[18]
Edgar Faure, ministre de l’Éducation Nationale sous le règne de Charles de Gaulle,[19] répétait qu’il avait parfaitement compris la nécessité du « changement » réclamé par la « société », et se faisait fort de conduire ce « changement » au niveau universitaire entre autres, avec la mise en place de cette université « expérimentale », afin de répondre au besoin de promouvoir « l’innovation pédagogique », en ouvrant l’accès à l’enseignement supérieur aux salariés et aux non-bacheliers,[20] dans un esprit qui écarte « la compétition » et qui insiste sur « l’interdisciplinarité », sur la « pluridisciplinarité » et sur une autre approche de « la hiérarchie ».
Il appelait à d’autres techniques de « l’évaluation », et à une modification du « rapport au savoir ».[21]
J’ai opté pour le droit et les sciences politiques.[22]
Je n’ai pas mis longtemps pour saisir que l’université dite « expérimentale », largement ouverte aux étrangers, reproduisait dans ce domaine, des réflexes colonialistes[23] consistant à permettre aux « privilégiés » de la « métropole »[24] de s’attribuer des « avantages » en cherchant à faire « comprendre » à la foule des « colonisés »[25] qu’il faudrait « témoigner de la reconnaissance pour les miettes ».
Dans ce schéma, les « arabes de service »[26] pouvaient « espérer un peu plus que des miettes ».
Le discours tenu alimentait et entretenait l’imposture quant à « la lutte contre l’oppression et l’exploitation ».[27]
Beaucoup « d’enseignants » de gauche pour la plupart, très à l’aise dans la « culture » du mensonge,[28] payés à « travailler » encore moins que dans les autres universités,[29] s’adonnaient en « professionnels » à la manipulation, recouraient à des « subterfuges » et désignaient les étudiants[30] comme des « combattants engagés avec eux et avec d’autres, dans le combat pour l’avenir de l’humanité ».[31]
Ils répétaient des insanités sur « le désir de l’échange », sur « la confrontation dans la jouissance », sur « la recherche du plaisir » et sur « la contribution à modifier les modalités de validation des acquis ».[32]
Sans parler des « enseignants » qui, « pour lutter contre la sélection » accordaient des unités de valeur à tout le monde,[33] ou de ceux qui avantageaient des « enseignés » d’une « tendance politique précise », certaines « modalités de validation des acquis » étaient en effet profondément modifiées !
Des « enseignés », souvent originaires des pays de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[34] malsains et nuisibles, obtenaient des unités de valeur en enculant des « enseignants » mâles, portés sur la diversité cul-turelle[35] et « l’échange en profondeur ».
L’université était aussi un terrain de chasse de certaines « enseignées » promptes à accueillir des bites qui rapportent.
Elles faisaient donc de leur « mieux » pour accumuler les « bons résultats ».
Des lesbiennes, plus « discrètes », ne devaient pas être en reste et tout en fricotant pour le diplôme, elles étaient certainement « contentes » de con-solider[36] le « M.L.F. »[37] et de « défricher des étendues qui, si elles n’étaient pas vierges, ne manquaient pas d’intérêt ».[38]
Le sexe et la drogue faisaient partie intégrante de l’institution.[39]
Des époux pourris, parfois pères, montraient une grande assiduité pour se taper des minettes « afin de varier les plaisirs dans le but de consolider le couple » disaient-ils.
Des épouses putes, parfois mères, parlaient de « pimenter la vie maritale ».
Certaines s’offraient des gigolos pour s’assurer qu’elles étaient encore baisables.[40]
Des individus, originaires des pays de « l’indépendance dans l’interdépendance », étaient des dealers,[41] parfois diplômés de l’université Paris VIII-Vincennes.
Les dégradations et les vols étaient courants.
Des petites salles de cours, rarement propres, n’avaient presque pas de tables et de chaises.
Les murs étaient salis par des slogans obscènes.
La faune qui occupait ces lieux jusqu’à vingt deux heures,[42] s’adonnait à des « débats » sans rapport avec le thème de l’unité de valeur, dans une tabagie indescriptible et une ambiance difficile à décrire.
Des livres de la bibliothèque étaient volés, vendus, détériorés.[43]
Le couloir principal de l’université était transformé en souq[44] avec des sandwichs, des fringues et de la drogue.
Les places de ce souq se négociaient auprès de ceux à qui le couloir a été attribué.[45]
Les « repas » au restaurant universitaire étaient infectes et la cuisine dépourvue d’hygiène.
Les couteaux, les fourchettes, les verres et autres étaient volés, provoquant la généralisation des couverts en papier et en plastique.
La cafétéria, baignant dans la fumée des cigarettes et les effluves de cannabis et autres, était le lieu des « échanges permanents » qui allaient des préliminaires pour la baise,[46] à « l’art de refaire le monde à la lumière de la révolution prolétarienne »,[47] en analysant « les contradictions principales et les contradictions secondaires au sein du peuple », en moins de temps qu’il n’en fallait à une « militante maoïste » en manque[48] pour se faire sauter dans les toilettes, au bout de la cafétéria.[49]
Les murs de ces toilettes, plus que d’autres, étaient tapissés d’expressions et de dessins pornographiques, de dates de rendez-vous pour copuler sur place et de trous dans les cloisons pour ceux et celles qui avaient envie de « se rincer l’œil ».[50]
Une garderie pour les enfants était gérée con-formément[51] à « l’esprit » de cette université.
Il n’était pas rare de voir en hiver par exemple, des enfants barboter dans la boue, sous la pluie, « pour jouir sans entraves des plaisirs de la liberté », pendant que le personnel prenait le café, se roulait des joints et s’envoyait en l’air.
Durant l’été 1973, je me suis marié avec une étudiante[52] que j’ai connue à l’université de Grenoble.
Elle avait une maîtrise d’italien, avait obtenu un poste d’enseignante et une mutation en région parisienne.
La même année, après l’échec des tentatives militaires de 1971 et de 1972 de mettre fin à la monarchie au Maroc, le monarque a décidé d’accorder une bourse[53] à tous les étudiants en France.
J’ai donc eu une bourse.[54]
Notre premier fils est né en 1975, l’année où je terminais la licence en droit.[55]
J’ai terminé la licence de sciences politiques et j’ai eu en 1977 la maîtrise en droit.[56]
Je faisais parallèlement des études à Paris II-Panthéon pour l’obtention du diplôme de l’I.H.E.I.[57] que j’ai eu en 1978.[58]
Mon épouse ayant obtenu une équivalence, a fait une licence de français à Paris VIII-Vincennes qui lui a servi pour avoir un poste d’enseignante en contrat local dans un lycée au Maroc.
Après deux ans de service civil dans l’administration[59], j’avais hésité un peu avant de décider d’entamer un stage d’avocat.
J’avais en fait commencé à réfléchir au retour en France.[60]
À notre retour, mon épouse a eu un poste dans l’enseignement en région parisienne.
En attendant de trouver un emploi « régulier »,[61] j’ai préparé un doctorat d’université en droit international public[62] à Paris VIII-Saint-Denis,[63] et une licence d’animation culturelle et sociale à Paris VII-Jussieu.[64]
Plusieurs années plus tard, en 2003, dans le cadre professionnel, j’ai eu une maîtrise de sciences et techniques (interventions et pratiques sociales) de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.[65]
« Par les chevaux qui halètent. Qui font jaillir des étincelles. Qui montent à l’assaut à l’aube. Qui font voler la poussière. Et pénètrent au milieu du rassemblement ennemi. L’être humain est ingrat envers son Seigneur ».[66]
Ces paroles du Message d’Allaah à l’humanité, raisonnent encore à la sortie du masjid[67] dans une commune en région parisienne.
C’est vendredi, les croyants et les croyantes viennent d’accomplir salaate aljomo’a.[68]
Leurs cœurs battent à l’Unicité.[69]
Ils ont dans les yeux la lueur de ceux et de celles qui se souviennent de Demain.
Ils savent de Source Sûre, que ceux et celles qui ont choisi la voie des ténèbres n’éteindront jamais la Lumière d’Allaah.[70]
Un vieil homme, marchand lentement avec un autre d’un âge certain, offrent aux uns et aux autres, des sourires qui sentent l’aube de la Vie.
Les couleurs des foulards des croyantes [71] paraissent comme des fleurs qui évoluent dans l’espace.
Au bout de la rue « Impasse de la République », en haut d’une poubelle sans couvercle, attendant d’être vidée dans la benne à ordures, le journal « libération » est visible d’assez loin.[72]
BOUAZZA
« Achitii libiratioune »[1] répétait-il en continu, sans jamais se lasser.
Originaire du Baakistaane,[2] il ne parlait pas encore français et avait appris juste l’expression qui lui servait à proposer le journal à d’éventuels acheteurs.
Il avait dans les yeux la lueur d’une personne qui se souvient de Demain.
Il offrait un sourire sentant l’aube de la Vie à quiconque l’accostait.
Certains et certaines achetaient peut-être le journal juste pour le sourire du vendeur.
Et sans s’attarder, il reprenait son « appel » que j’entends encore.
À cette époque, dans les années soixante dix,[3] ce journal[4] se voulait « un acquis des événements de mai 68 ».[5]
La propagande le présentait comme une sorte de porte parole d’une révolution en devenir, un « outil de la gauche progressiste » ![6]
Ce journal avait atteint une certaine « notoriété » en con-sacrant[7] un espace à la publication d’annonces sexuelles.[8]
À l’heure de la prière, le vendeur, en ablution et recueilli, posait le paquet de journaux,[9] se mettait face à alqibla[10] et accomplissait la prière, un pilier fondamental de l’Islaam.[11]
Savait-il combien je l’enviais[12] à ce moment ?[13]
J’ai « atteri » à l’université Paris VIII-Vincennes[14] en 1972,[15] sous le règne de Georges Pompidou.
Cette université dite « expérimentale » a ouvert en 1969,[16] un peu plus d’un an après les événements du mois de mai 1968.
Les bâtiments ont été construits, paraît-il, en trois mois, sur un terrain attenant au Bois de Vincennes, connu pour la prostitution,[17] cédé par la ville de Paris à l’État pour dix ans.
Ils étaient situés à quelques minutes en autobus ou en voiture, du château de Vincennes.[18]
Edgar Faure, ministre de l’Éducation Nationale sous le règne de Charles de Gaulle,[19] répétait qu’il avait parfaitement compris la nécessité du « changement » réclamé par la « société », et se faisait fort de conduire ce « changement » au niveau universitaire entre autres, avec la mise en place de cette université « expérimentale », afin de répondre au besoin de promouvoir « l’innovation pédagogique », en ouvrant l’accès à l’enseignement supérieur aux salariés et aux non-bacheliers,[20] dans un esprit qui écarte « la compétition » et qui insiste sur « l’interdisciplinarité », sur la « pluridisciplinarité » et sur une autre approche de « la hiérarchie ».
Il appelait à d’autres techniques de « l’évaluation », et à une modification du « rapport au savoir ».[21]
J’ai opté pour le droit et les sciences politiques.[22]
Je n’ai pas mis longtemps pour saisir que l’université dite « expérimentale », largement ouverte aux étrangers, reproduisait dans ce domaine, des réflexes colonialistes[23] consistant à permettre aux « privilégiés » de la « métropole »[24] de s’attribuer des « avantages » en cherchant à faire « comprendre » à la foule des « colonisés »[25] qu’il faudrait « témoigner de la reconnaissance pour les miettes ».
Dans ce schéma, les « arabes de service »[26] pouvaient « espérer un peu plus que des miettes ».
Le discours tenu alimentait et entretenait l’imposture quant à « la lutte contre l’oppression et l’exploitation ».[27]
Beaucoup « d’enseignants » de gauche pour la plupart, très à l’aise dans la « culture » du mensonge,[28] payés à « travailler » encore moins que dans les autres universités,[29] s’adonnaient en « professionnels » à la manipulation, recouraient à des « subterfuges » et désignaient les étudiants[30] comme des « combattants engagés avec eux et avec d’autres, dans le combat pour l’avenir de l’humanité ».[31]
Ils répétaient des insanités sur « le désir de l’échange », sur « la confrontation dans la jouissance », sur « la recherche du plaisir » et sur « la contribution à modifier les modalités de validation des acquis ».[32]
Sans parler des « enseignants » qui, « pour lutter contre la sélection » accordaient des unités de valeur à tout le monde,[33] ou de ceux qui avantageaient des « enseignés » d’une « tendance politique précise », certaines « modalités de validation des acquis » étaient en effet profondément modifiées !
Des « enseignés », souvent originaires des pays de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[34] malsains et nuisibles, obtenaient des unités de valeur en enculant des « enseignants » mâles, portés sur la diversité cul-turelle[35] et « l’échange en profondeur ».
L’université était aussi un terrain de chasse de certaines « enseignées » promptes à accueillir des bites qui rapportent.
Elles faisaient donc de leur « mieux » pour accumuler les « bons résultats ».
Des lesbiennes, plus « discrètes », ne devaient pas être en reste et tout en fricotant pour le diplôme, elles étaient certainement « contentes » de con-solider[36] le « M.L.F. »[37] et de « défricher des étendues qui, si elles n’étaient pas vierges, ne manquaient pas d’intérêt ».[38]
Le sexe et la drogue faisaient partie intégrante de l’institution.[39]
Des époux pourris, parfois pères, montraient une grande assiduité pour se taper des minettes « afin de varier les plaisirs dans le but de consolider le couple » disaient-ils.
Des épouses putes, parfois mères, parlaient de « pimenter la vie maritale ».
Certaines s’offraient des gigolos pour s’assurer qu’elles étaient encore baisables.[40]
Des individus, originaires des pays de « l’indépendance dans l’interdépendance », étaient des dealers,[41] parfois diplômés de l’université Paris VIII-Vincennes.
Les dégradations et les vols étaient courants.
Des petites salles de cours, rarement propres, n’avaient presque pas de tables et de chaises.
Les murs étaient salis par des slogans obscènes.
La faune qui occupait ces lieux jusqu’à vingt deux heures,[42] s’adonnait à des « débats » sans rapport avec le thème de l’unité de valeur, dans une tabagie indescriptible et une ambiance difficile à décrire.
Des livres de la bibliothèque étaient volés, vendus, détériorés.[43]
Le couloir principal de l’université était transformé en souq[44] avec des sandwichs, des fringues et de la drogue.
Les places de ce souq se négociaient auprès de ceux à qui le couloir a été attribué.[45]
Les « repas » au restaurant universitaire étaient infectes et la cuisine dépourvue d’hygiène.
Les couteaux, les fourchettes, les verres et autres étaient volés, provoquant la généralisation des couverts en papier et en plastique.
La cafétéria, baignant dans la fumée des cigarettes et les effluves de cannabis et autres, était le lieu des « échanges permanents » qui allaient des préliminaires pour la baise,[46] à « l’art de refaire le monde à la lumière de la révolution prolétarienne »,[47] en analysant « les contradictions principales et les contradictions secondaires au sein du peuple », en moins de temps qu’il n’en fallait à une « militante maoïste » en manque[48] pour se faire sauter dans les toilettes, au bout de la cafétéria.[49]
Les murs de ces toilettes, plus que d’autres, étaient tapissés d’expressions et de dessins pornographiques, de dates de rendez-vous pour copuler sur place et de trous dans les cloisons pour ceux et celles qui avaient envie de « se rincer l’œil ».[50]
Une garderie pour les enfants était gérée con-formément[51] à « l’esprit » de cette université.
Il n’était pas rare de voir en hiver par exemple, des enfants barboter dans la boue, sous la pluie, « pour jouir sans entraves des plaisirs de la liberté », pendant que le personnel prenait le café, se roulait des joints et s’envoyait en l’air.
Durant l’été 1973, je me suis marié avec une étudiante[52] que j’ai connue à l’université de Grenoble.
Elle avait une maîtrise d’italien, avait obtenu un poste d’enseignante et une mutation en région parisienne.
La même année, après l’échec des tentatives militaires de 1971 et de 1972 de mettre fin à la monarchie au Maroc, le monarque a décidé d’accorder une bourse[53] à tous les étudiants en France.
J’ai donc eu une bourse.[54]
Notre premier fils est né en 1975, l’année où je terminais la licence en droit.[55]
J’ai terminé la licence de sciences politiques et j’ai eu en 1977 la maîtrise en droit.[56]
Je faisais parallèlement des études à Paris II-Panthéon pour l’obtention du diplôme de l’I.H.E.I.[57] que j’ai eu en 1978.[58]
Mon épouse ayant obtenu une équivalence, a fait une licence de français à Paris VIII-Vincennes qui lui a servi pour avoir un poste d’enseignante en contrat local dans un lycée au Maroc.
Après deux ans de service civil dans l’administration[59], j’avais hésité un peu avant de décider d’entamer un stage d’avocat.
J’avais en fait commencé à réfléchir au retour en France.[60]
À notre retour, mon épouse a eu un poste dans l’enseignement en région parisienne.
En attendant de trouver un emploi « régulier »,[61] j’ai préparé un doctorat d’université en droit international public[62] à Paris VIII-Saint-Denis,[63] et une licence d’animation culturelle et sociale à Paris VII-Jussieu.[64]
Plusieurs années plus tard, en 2003, dans le cadre professionnel, j’ai eu une maîtrise de sciences et techniques (interventions et pratiques sociales) de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines.[65]
« Par les chevaux qui halètent. Qui font jaillir des étincelles. Qui montent à l’assaut à l’aube. Qui font voler la poussière. Et pénètrent au milieu du rassemblement ennemi. L’être humain est ingrat envers son Seigneur ».[66]
Ces paroles du Message d’Allaah à l’humanité, raisonnent encore à la sortie du masjid[67] dans une commune en région parisienne.
C’est vendredi, les croyants et les croyantes viennent d’accomplir salaate aljomo’a.[68]
Leurs cœurs battent à l’Unicité.[69]
Ils ont dans les yeux la lueur de ceux et de celles qui se souviennent de Demain.
Ils savent de Source Sûre, que ceux et celles qui ont choisi la voie des ténèbres n’éteindront jamais la Lumière d’Allaah.[70]
Un vieil homme, marchand lentement avec un autre d’un âge certain, offrent aux uns et aux autres, des sourires qui sentent l’aube de la Vie.
Les couleurs des foulards des croyantes [71] paraissent comme des fleurs qui évoluent dans l’espace.
Au bout de la rue « Impasse de la République », en haut d’une poubelle sans couvercle, attendant d’être vidée dans la benne à ordures, le journal « libération » est visible d’assez loin.[72]
BOUAZZA
[1] Le "r" roulé.
Achetez libération.
[2] Pakistan.
[3] Selon le calendrier dit Grégorien.
[4] Mis sur le marché en 1973.
[5] Événements du mois de mai 1968 se voulant une révolte contre le régime afin de "changer la vie".
Ce furent des "revendications" attribuées aux "étudiants" qui avaient mobilisé "tout le monde" pour une ambiance psychédélique, du sexe sans frontières, de la baise dite "enchantée", du cul dit "libéré", du "plaisir" triomphant, une "nouvelle" conne science (conscience), une société "avant-garadiste" et d’innombrables autres idées "révolutionnaires" que "développent" toujours des impérialo-sionistes de gauche, du centre, de droite et de je ne sais quoi encore.
Se reporter à mon texte intitulé "Distance".
[6] Des mots qui ne signifient rien et qui ne changent rien à rien.
[7] Consacrant.
[8] "Les petites annonces de libé".
De nombreuses années plus tard, ce journal est devenu la propriété d’un financier de la famille Rothschild, famille milliardaire, aux investissements multiples et variés.
Argent de gauche ? Du centre ? De droite ? Autres ?
Ce sont des composantes de la même supercherie.
Les friqués de gauche sont aussi avides, aussi corrompus, aussi débauchés, aussi pourris que les autres politicards.
Il faut avoir le cœur atteint de cécité pour donner crédit à la mythologie qui consiste à vouloir faire croire que la gauche combat l’oppression, l’exploitation et mène des luttes contre les injustes (adhdhaalimoune).
L’arrogance, l’immoralité, la criminalité et autres, font partie des fondements de cette mafia qui gangrène tout depuis des lustres, et qui se permet tout.
Une mafia qui défend l’étable de sa loi (les tables de sa loi).
Une mafia qui se charge de réduire au silence, quiconque ose porter atteinte à ses "droits".
Une mafia qui calomnie, diffame, salit, humilie, écrase, détruit, et extermine quiconque n’approuve pas ses pratiques, selon la technique très prisée qui consiste à "victimiser" l’accusé et à accuser la victime.
Se reporter à mon texte intitulé "Mafia".
[9] Il devait avoir un dépôt quelque part à l’université, et s’approvisionnait au fur et à mesure des ventes.
[10] La direction d’alka’ba (la Kaaba) à Makka (la Mecque) qui sert de point d’orientation pour l’accomplissement de la prière par les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate).
Alka’ba est le premier édifice sacré sur terre, Bayte Allaah Alharaame (la Maison Sacrée d’Allaah).
En région parisienne par exemple, la direction d’alqibla est le Sud-Est.
Si pour une raison ou une autre, une personne n’arrive pas à déterminer la direction d’alqibla, elle choisit une direction, et accomplit la prière.
[11] Depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, l’Islaam consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Se reporter à mon texte concernant l’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
Assalaate (la prière) a toujours constitué la clé de voûte de cette Adoration (‘ibaada).
Se reporter à mon travail sur comment accomplir la prière en Islaam.
[12] En Islaam, il est permis d’envier quelqu’un pour un acte de cette nature.
[13] Je l’écris aujourd’hui, mais était-ce exactement ainsi il y a une quarantaine d’années ?
[14] Après les événements de mai 68, l’université de Paris a été divisée en plusieurs universités, d’où les numéros 1, 2, 3…etc.
[15] J’avais 22 ans et quelques mois.
Se reporter à mon texte intitulé "Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc".
[16] L’année où j’ai obtenu le baccalauréat au Mghrib (Maroc), de l’autre côté d’albahr alabyad almoutawassite, la mer blanche intermédiaire, la mer méditerranée.
[17] Même s’il bénéficie de moins de publicité dans ce domaine que le Bois de Boulogne.
[18] Pas loin du zoo de Vincennes.
Cette université était d’ailleurs une sorte de zoo avec cependant moins de sympathie pour ses "pensionnaires", que pour les animaux.
[19] Président de la cinquième République de 1959 à 1969, remplacé par Georges Pompidou de 1969 à 1974 (décédé avant de finir son mandat de 7 ans).
Il est à souligner que les événements du mois de mai 1968 ont été déclenchés un an à peine après l’agression armée impérialo-sioniste du mois de juin 1967 contre les populations de pays dits "arabo-musulmans", et l’usurpation totale de Filistiine (Palestine), ainsi que d’autres territoires.
Charles de Gaulle refusait de "comprendre" qu’il fallait applaudir cette agression qu’il avait condamnée, bien que la France fasse partie du système impérialo-sioniste.
Charles de Gaulle avait même décidé un embargo sur les armes destinées à être utilisées contre les populations des pays agressés.
Des services de l’armée d’usurpation de Filistiine avaient riposté en s’emparant, sur le territoire de la France, au port de Cherbourg, de frégates de guerre voulues, infligeant ainsi une humiliation à Charles de Gaulle qui, pendant les événements déclenchés au mois de mai 1968 a été traité de vieux dépassé et incapable, puis chassé par "démission", suite à un rejet par référendum d’une simple réforme ayant trait aux collectivités territoriales.
Il a été remplacé par Georges Pompidou, son ancien premier ministre et ancien employé de la banque Rothschild.
Charles de Gaulle est mort en 1970.
Lorsque plusieurs années plus tard, en 2003, Jacques Chirac a refusé de participer à l’agression armée impérialo-sioniste contre Al’iraaq (l’Irak), cela n’est pas resté sans effets.
Avant l’agression armée du mois de juin 1967, il y a eu l’agression armée de 1948, et l’agression armée de 1956 à laquelle l’armée de France a participé, envoyée par un gouvernement socialiste.
C’est également un socialiste, le Président de la République François Mitterrand qui a envoyé l’armée de France pour participer à l’agression armée de 1991 contre Al’iraaq, sous les ordres des USA (United States of America, les États Unis d’Amérique, fondés par des européens sur le génocide des Indiens et bâtis sur l’esclavage, les exterminations des populations y compris par l’usage de la bombe atomique, les innombrables massacres et les multiples autres agressions partout dans le monde.
À l’avant-garde du système impérialo-sioniste, les USA sont aujourd’hui la première puissance militaire et atomique, à la tête des massacres des croyants et des croyantes dans le monde entier).
Plusieurs années auparavant, au temps où l’armée colonialiste de France massacrait des populations un peu partout, ce même François Mitterrand (qui n’était pas Président) soutenait que la seule négociation avec les populations colonisées d’Aljazaa-i-r (d’Algérie) par exemple, était de les tuer.
Aujourd’hui, il est demandé de ne jamais oublier les massacres du nazisme contre les populations juives en Europe, mais de "tourner la page" concernant les crimes contre l’humanité commis par le colonialisme et l’impérialo-sionisme, crimes qui se poursuivent.
Ne pas"tourner la page" disent les adeptes de ces crimes, "c’est s’opposer à la paix".
Mais, soulignent ces mêmes adeptes de ces crimes, oublier les massacres du nazisme contre les populations juives en Europe, c’est un"crime contre la mémoire", c’est de "l’antisémitisme".
À la "libération" par exemple, les populations qui résistaient au colonialisme français continuaient d’être massacrées, alors même que des centaines de milliers de personnes parmi ces populations ont servi de chair à canon contre l’Allemagne nazie.
[20] J’ai incité mon frère, plus jeune que moi, non-bachelier et qui avait quitté Lmghrib pour travailler à l’usine, ainsi que d’autres salariés, à s’inscrire à cette université.
Cette inscription a été utile à mon frère pour passer quelques années plus tard un concours à son retour au pays, et avoir un poste de fonctionnaire dans un ministère où il est devenu cadre.
[21] Tout cela je ne l’ai appris que plus tard, avec certains autres détails.
Au départ, je crois que j’ai opté pour cette université parce que j’ai appris qu’elle était très ouverte aux étrangers, et que sa "souplesse" permettait de mener à bien le cursus choisi.
Je ne sais plus si c’était exactement ainsi, mais je pense qu’il y a de cela quant au fond.
[22] À Grenoble (université à Saint Martin d’Hères), j’étais à la faculté des lettres (Histoire) que j’ai abandonnée pour l’Institut d’Études Politiques (I.E.P.) avant de rejoindre la région parisienne.
[23] Décoloniser les comportements est un travail de très longue haleine qui est rarement entrepris réellement.
[24] L’équipe dirigeante, des "enseignants", des membres du personnel administratif et un certain nombre "d’enseignés".
[25] Les étudiants, les "enseignés" originaires des pays dits de "l’indépendance dans l’interdépendance".
Se reporter à mon texte du même titre.
[26] Qui prêtent allégeance aux "métropolitains".
[27] À l’époque, je n’exprimais pas tout cela ainsi, mais je le sentais et le traduisais plus ou moins clairement.
Des choses sont parfois senties, comme une odeur insolite, puis se confirment et deviennent un constat.
[28] Qui dégouline de partout et qui n’épargne aucun pays, surtout pas ceux dits "arabo-musulmans".
Les croyants et les croyantes savent que depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
[29] Et ce n’est pas peu dire.
[30] Les "enseignés".
[31] Des inepties de ce genre étaient monnaie courante.
[32] L’enseignement était basé sur "le contrôle continu", fondé sur des "unités de valeur" (des certificats).
Les cours étaient semestriels.
L’étudiant pouvait préparer 10 unités de valeur en deux semestres et donc 30 en 3 ans pour la licence.
Pour la licence, il fallait 20 unités de valeur en "dominante" (droit pour moi) et 10 en "sous-dominante" (sciences politiques pour moi) dont une à deux unités de valeur dites "libres" dans n’importe quelle département (section, branche).
L’étudiant pouvait compléter la sous-dominante par 10 unités de valeur, utiliser celles de la dominante de départ en sous-dominante, et obtenir une seconde licence (c’est ce que j’ai fait pour la licence de sciences politiques).
[33] Il a été dit que quelqu’un s’est amusé à inscrire un cheval à un "cours" de l’un de ces "enseignants", et que l’étalon avait obtenu l’unité de valeur.
[34] "L’indépendance dans l’interdépendance" se traduit, entre autres, par la multiplication des employés subalternes ("États" supplétifs), subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des employeurs (les "États" dominants).
[35] Culturelle.
[36] Consolider.
[37] Mouvement de Libération de la Femme.
[38] Pour toutes ces personnes, comme pour d’innombrables autres avant elles, et d’innombrables autres après elles, il n’y a pas que le sexe dans la vie, il y a aussi le cul.
Se reporter à mon texte intitulé "Il n’y a pas que le sexe".
[39] Plus ouvertement que dans d’autres universités et établissements d’enseignement.
Aujourd’hui, dans plusieurs lieux d’enseignement et ailleurs, il n’est pas rare de voir des personnes, y compris parmi les "responsables", s’échanger des pétards, se rouler des pelles, se tripoter dans des recoins, se faire des pipes, se lécher, baiser dans les bureaux et les chiottes, se rejoindre dans les véhicules pour fricoter et aménager diverses rencontres afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Récemment, pendant une sortie dite "éducative", à l’arrière de l’autocar, des élèves déjà ivres, "s’amusaient" avec "l’assistant d’éducation".
Une élève lui faisait une fellation.
Un "inspecteur de l’éducation nationale » a été informé par une élève, sa belle-fille qui était dans l’autocar.
Un procès a eu lieu durant le mois d’avril 2011.
"L’assistant d’éducation", connu pour des pratiques du même genre auxquelles il s’était déjà livré, a bénéficié du sursis !
Se reporter à mes textes intitulés "Enseignement", "Assistance éducative".
[40] Parmi elles, certaines, avec l’air de "sainte nitouche" attribuaient leur goût de cette "liberté" à la "révolution française" et à "mai 68".
Pour elles, La révolution française a ouvert les femmes à la baise patriotique, et mai 1968 au sexe sans frontières.
Se reporter à mon texte intitulé "S-cul-pture".
[41] Vendaient de l’herbe (hchich , hachich), du kif (cannabis) et autres.
[42] Les cours duraient jusqu’à 22 heures et j’en suivais beaucoup jusqu’à cette heure.
[43] La destruction et l’accaparement de biens collectifs étaient courants.
[44] Souk, marché.
[45] Pour je ne sais quels "services rendus".
[46] Certains, attirant des regards sur les braguettes, étaient en érection.
D’autres, se grattant le derrière ou entre les cuisses, tentaient de faire patienter des orifices en chaleur.
[47] Dont chacun et chacune blablataient en fonction de ce qui a été retenu de la propagande.
Les uns et les autres s’ingéniaient à mettre en relief ce qui pouvait les aider à se tailler une réputation de "doctrinaire", donnant accès à certaines "faveurs" recherchées.
[48] Qui pouvait s’entêter à pisser debout pour se distinguer des autres femelles !
[49] Une sorte de rituel con-sacré (consacré) qui illustrait le sein-bole (symbole) du "monde en devenir".
[50] Une telle débauche n’empêche pas ceux et celles qui veulent y résister de le faire, en s’appliquant, en se détournant des nuisances, et en faisant de leur mieux pour s’éloigner des influences néfastes.
C’est comme dans divers autres lieux où des débauchés mâles et femelles répandent le vice et l’avilissement qu’ils traduisent par "considération" et "valorisation", et qui, dans leur avidité à parler à tort et à travers, et à s’agiter dans tous les sens, cherchent à "philosopher" sur la "vertu" et la "chasteté", puis retrouvent parfois l’époux, l’épouse et les enfants pour jouer à la famille !
[51] Conformément.
[52] Dont le père était originaire d’Italie et la mère de la Drôme.
Se reporter à mes textes intitulés "Juillet 1973", "Mon épouse", "Forêt obscure".
[53] Bourse d’étude non négligeable, y compris en comparaison avec des bourses accordées par la France.
[54] Jusqu’à mon retour au Maroc en 1977.
[55] Notre deuxième fils est né au Maroc en 1978.
Se reporter à mes textes intitulés "Mars 1975", "Septembre 1978".
[56] Soutenance d’un mémoire sur la récupération des terres des colons au Maroc, et deux unités de valeur.
Les étudiants qui ne voulaient pas préparer un mémoire, devaient obtenir 10 unités de valeur dans la branche où la licence a été obtenue.
[57] Institut des Hautes Études Internationales.
[58] Je suis revenu du Maroc pour la soutenance d’un mémoire sur la question du Sahara marocain et les organisations internationales.
[59] Obligatoires à l’époque pour toute personne marocaine, détentrice d’une licence de l’enseignement universitaire.
[60] Le retour a eu lieu durant l’été 1981, peu de temps après l’installation du Président socialiste François Mitterrand pour 14 ans (de 1981 à 1995), sur le trône du Palais de l’Élysée.
Son slogan "changer la vie" (slogan de mai 68) a été appliqué pour lui permettre, avec un certain nombre de ses serviteurs, de s’offrir tous les luxes et tous les privilèges, comme ses prédécesseurs, et même plus.
Il a été remplacé par son alter ego de droite, Jacques Chirac qui est resté 12 ans sur le trône (2ème mandat de 5 ans au lieu de 7, suite à une réforme), avant de céder la place en 2007 à Nicolas Sarkozy qui pour les "élections" de 2012 n’était pas donné favori par rapport aux "chances" de son alter ego de gauche, Dominique Strauss Kahn, avant que celui-ci ne soit arrêté à New-york en mai 2011, pour crimes sexuels.
Se reporter à mes textes intitulés "USA", "Les défenseurs des mensonges », "L’étable de la loi", "Ikhkhaane".
[61] J’ai travaillé un peu en intérim, et j’ai fait des traductions pour la thèse d’un étudiant d’une famille aisée de Loubnaane (Liban).
[62] Sur le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et le principe de l’unité et de l’intégrité territoriales dans la question du Sahara Occidental.
[63] En 1979, l’université Paris-VIII-Vincennes a été transférée dans des locaux au département de la Seine-Saint-Denis (le neuf trois, 93), sur décision d’Alice Saunier Seïté, ministre des universités sous le règne de Valéry Giscard d’Estaing (Président de la République de 1974 à 1981).
Il a essayé de garder le trône, mais le sioniste de gauche, François Mitterrand y a été installé.
Les bâtiments de l’université de Paris VIII-Vincennes ont été rasés.
[64] Ayant effectué les démarches nécessaires, j’ai acquis la nationalité française selon la procédure dite "par déclaration" puisque marié à une française, et j’ai pu, sans attendre plusieurs années de "mise à l’épreuve" (condition supprimée par Valéry Giscard d’Estaing), passer un concours administratif qui ne nécessite pas tous ces diplômes et avoir un emploi dans la fonction publique.
Je n’ai pas opté pour la France afin de faire carrière.
Se reporter à mes textes intitulés "Évasion", "Imposture", "La cendre qu’emporte le vent".
[65] Diplôme qui ne m’a pas été utile non plus dans mon emploi.
[66] Alqoraane (Le Coran), sourate 100 (chapitre 100), Al’aadiyaate, Les Chevaux qui Galopent, aayate 1 à aayate 6 (verset 1 à verset 6).
Se reporter à mon texte intitulé "Atteinte à la sûreté de l’État".
[67] Prosternatoire, mosquée.
[68] La prière de vendredi, qui remplace celle d’addohr (début de l’après-midi).
[69] Attawhiid.
[70] Se reporter à mes textes intitulés "L’essence", "Un musulman pour l’Islaam".
[71] Se reporter à mon texte intitulé "Jusqu’au bout".
[72] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
Achetez libération.
[2] Pakistan.
[3] Selon le calendrier dit Grégorien.
[4] Mis sur le marché en 1973.
[5] Événements du mois de mai 1968 se voulant une révolte contre le régime afin de "changer la vie".
Ce furent des "revendications" attribuées aux "étudiants" qui avaient mobilisé "tout le monde" pour une ambiance psychédélique, du sexe sans frontières, de la baise dite "enchantée", du cul dit "libéré", du "plaisir" triomphant, une "nouvelle" conne science (conscience), une société "avant-garadiste" et d’innombrables autres idées "révolutionnaires" que "développent" toujours des impérialo-sionistes de gauche, du centre, de droite et de je ne sais quoi encore.
Se reporter à mon texte intitulé "Distance".
[6] Des mots qui ne signifient rien et qui ne changent rien à rien.
[7] Consacrant.
[8] "Les petites annonces de libé".
De nombreuses années plus tard, ce journal est devenu la propriété d’un financier de la famille Rothschild, famille milliardaire, aux investissements multiples et variés.
Argent de gauche ? Du centre ? De droite ? Autres ?
Ce sont des composantes de la même supercherie.
Les friqués de gauche sont aussi avides, aussi corrompus, aussi débauchés, aussi pourris que les autres politicards.
Il faut avoir le cœur atteint de cécité pour donner crédit à la mythologie qui consiste à vouloir faire croire que la gauche combat l’oppression, l’exploitation et mène des luttes contre les injustes (adhdhaalimoune).
L’arrogance, l’immoralité, la criminalité et autres, font partie des fondements de cette mafia qui gangrène tout depuis des lustres, et qui se permet tout.
Une mafia qui défend l’étable de sa loi (les tables de sa loi).
Une mafia qui se charge de réduire au silence, quiconque ose porter atteinte à ses "droits".
Une mafia qui calomnie, diffame, salit, humilie, écrase, détruit, et extermine quiconque n’approuve pas ses pratiques, selon la technique très prisée qui consiste à "victimiser" l’accusé et à accuser la victime.
Se reporter à mon texte intitulé "Mafia".
[9] Il devait avoir un dépôt quelque part à l’université, et s’approvisionnait au fur et à mesure des ventes.
[10] La direction d’alka’ba (la Kaaba) à Makka (la Mecque) qui sert de point d’orientation pour l’accomplissement de la prière par les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate).
Alka’ba est le premier édifice sacré sur terre, Bayte Allaah Alharaame (la Maison Sacrée d’Allaah).
En région parisienne par exemple, la direction d’alqibla est le Sud-Est.
Si pour une raison ou une autre, une personne n’arrive pas à déterminer la direction d’alqibla, elle choisit une direction, et accomplit la prière.
[11] Depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, l’Islaam consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Se reporter à mon texte concernant l’Islaam depuis Aadame sur lui la bénédiction et la paix.
Assalaate (la prière) a toujours constitué la clé de voûte de cette Adoration (‘ibaada).
Se reporter à mon travail sur comment accomplir la prière en Islaam.
[12] En Islaam, il est permis d’envier quelqu’un pour un acte de cette nature.
[13] Je l’écris aujourd’hui, mais était-ce exactement ainsi il y a une quarantaine d’années ?
[14] Après les événements de mai 68, l’université de Paris a été divisée en plusieurs universités, d’où les numéros 1, 2, 3…etc.
[15] J’avais 22 ans et quelques mois.
Se reporter à mon texte intitulé "Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc".
[16] L’année où j’ai obtenu le baccalauréat au Mghrib (Maroc), de l’autre côté d’albahr alabyad almoutawassite, la mer blanche intermédiaire, la mer méditerranée.
[17] Même s’il bénéficie de moins de publicité dans ce domaine que le Bois de Boulogne.
[18] Pas loin du zoo de Vincennes.
Cette université était d’ailleurs une sorte de zoo avec cependant moins de sympathie pour ses "pensionnaires", que pour les animaux.
[19] Président de la cinquième République de 1959 à 1969, remplacé par Georges Pompidou de 1969 à 1974 (décédé avant de finir son mandat de 7 ans).
Il est à souligner que les événements du mois de mai 1968 ont été déclenchés un an à peine après l’agression armée impérialo-sioniste du mois de juin 1967 contre les populations de pays dits "arabo-musulmans", et l’usurpation totale de Filistiine (Palestine), ainsi que d’autres territoires.
Charles de Gaulle refusait de "comprendre" qu’il fallait applaudir cette agression qu’il avait condamnée, bien que la France fasse partie du système impérialo-sioniste.
Charles de Gaulle avait même décidé un embargo sur les armes destinées à être utilisées contre les populations des pays agressés.
Des services de l’armée d’usurpation de Filistiine avaient riposté en s’emparant, sur le territoire de la France, au port de Cherbourg, de frégates de guerre voulues, infligeant ainsi une humiliation à Charles de Gaulle qui, pendant les événements déclenchés au mois de mai 1968 a été traité de vieux dépassé et incapable, puis chassé par "démission", suite à un rejet par référendum d’une simple réforme ayant trait aux collectivités territoriales.
Il a été remplacé par Georges Pompidou, son ancien premier ministre et ancien employé de la banque Rothschild.
Charles de Gaulle est mort en 1970.
Lorsque plusieurs années plus tard, en 2003, Jacques Chirac a refusé de participer à l’agression armée impérialo-sioniste contre Al’iraaq (l’Irak), cela n’est pas resté sans effets.
Avant l’agression armée du mois de juin 1967, il y a eu l’agression armée de 1948, et l’agression armée de 1956 à laquelle l’armée de France a participé, envoyée par un gouvernement socialiste.
C’est également un socialiste, le Président de la République François Mitterrand qui a envoyé l’armée de France pour participer à l’agression armée de 1991 contre Al’iraaq, sous les ordres des USA (United States of America, les États Unis d’Amérique, fondés par des européens sur le génocide des Indiens et bâtis sur l’esclavage, les exterminations des populations y compris par l’usage de la bombe atomique, les innombrables massacres et les multiples autres agressions partout dans le monde.
À l’avant-garde du système impérialo-sioniste, les USA sont aujourd’hui la première puissance militaire et atomique, à la tête des massacres des croyants et des croyantes dans le monde entier).
Plusieurs années auparavant, au temps où l’armée colonialiste de France massacrait des populations un peu partout, ce même François Mitterrand (qui n’était pas Président) soutenait que la seule négociation avec les populations colonisées d’Aljazaa-i-r (d’Algérie) par exemple, était de les tuer.
Aujourd’hui, il est demandé de ne jamais oublier les massacres du nazisme contre les populations juives en Europe, mais de "tourner la page" concernant les crimes contre l’humanité commis par le colonialisme et l’impérialo-sionisme, crimes qui se poursuivent.
Ne pas"tourner la page" disent les adeptes de ces crimes, "c’est s’opposer à la paix".
Mais, soulignent ces mêmes adeptes de ces crimes, oublier les massacres du nazisme contre les populations juives en Europe, c’est un"crime contre la mémoire", c’est de "l’antisémitisme".
À la "libération" par exemple, les populations qui résistaient au colonialisme français continuaient d’être massacrées, alors même que des centaines de milliers de personnes parmi ces populations ont servi de chair à canon contre l’Allemagne nazie.
[20] J’ai incité mon frère, plus jeune que moi, non-bachelier et qui avait quitté Lmghrib pour travailler à l’usine, ainsi que d’autres salariés, à s’inscrire à cette université.
Cette inscription a été utile à mon frère pour passer quelques années plus tard un concours à son retour au pays, et avoir un poste de fonctionnaire dans un ministère où il est devenu cadre.
[21] Tout cela je ne l’ai appris que plus tard, avec certains autres détails.
Au départ, je crois que j’ai opté pour cette université parce que j’ai appris qu’elle était très ouverte aux étrangers, et que sa "souplesse" permettait de mener à bien le cursus choisi.
Je ne sais plus si c’était exactement ainsi, mais je pense qu’il y a de cela quant au fond.
[22] À Grenoble (université à Saint Martin d’Hères), j’étais à la faculté des lettres (Histoire) que j’ai abandonnée pour l’Institut d’Études Politiques (I.E.P.) avant de rejoindre la région parisienne.
[23] Décoloniser les comportements est un travail de très longue haleine qui est rarement entrepris réellement.
[24] L’équipe dirigeante, des "enseignants", des membres du personnel administratif et un certain nombre "d’enseignés".
[25] Les étudiants, les "enseignés" originaires des pays dits de "l’indépendance dans l’interdépendance".
Se reporter à mon texte du même titre.
[26] Qui prêtent allégeance aux "métropolitains".
[27] À l’époque, je n’exprimais pas tout cela ainsi, mais je le sentais et le traduisais plus ou moins clairement.
Des choses sont parfois senties, comme une odeur insolite, puis se confirment et deviennent un constat.
[28] Qui dégouline de partout et qui n’épargne aucun pays, surtout pas ceux dits "arabo-musulmans".
Les croyants et les croyantes savent que depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
[29] Et ce n’est pas peu dire.
[30] Les "enseignés".
[31] Des inepties de ce genre étaient monnaie courante.
[32] L’enseignement était basé sur "le contrôle continu", fondé sur des "unités de valeur" (des certificats).
Les cours étaient semestriels.
L’étudiant pouvait préparer 10 unités de valeur en deux semestres et donc 30 en 3 ans pour la licence.
Pour la licence, il fallait 20 unités de valeur en "dominante" (droit pour moi) et 10 en "sous-dominante" (sciences politiques pour moi) dont une à deux unités de valeur dites "libres" dans n’importe quelle département (section, branche).
L’étudiant pouvait compléter la sous-dominante par 10 unités de valeur, utiliser celles de la dominante de départ en sous-dominante, et obtenir une seconde licence (c’est ce que j’ai fait pour la licence de sciences politiques).
[33] Il a été dit que quelqu’un s’est amusé à inscrire un cheval à un "cours" de l’un de ces "enseignants", et que l’étalon avait obtenu l’unité de valeur.
[34] "L’indépendance dans l’interdépendance" se traduit, entre autres, par la multiplication des employés subalternes ("États" supplétifs), subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des employeurs (les "États" dominants).
[35] Culturelle.
[36] Consolider.
[37] Mouvement de Libération de la Femme.
[38] Pour toutes ces personnes, comme pour d’innombrables autres avant elles, et d’innombrables autres après elles, il n’y a pas que le sexe dans la vie, il y a aussi le cul.
Se reporter à mon texte intitulé "Il n’y a pas que le sexe".
[39] Plus ouvertement que dans d’autres universités et établissements d’enseignement.
Aujourd’hui, dans plusieurs lieux d’enseignement et ailleurs, il n’est pas rare de voir des personnes, y compris parmi les "responsables", s’échanger des pétards, se rouler des pelles, se tripoter dans des recoins, se faire des pipes, se lécher, baiser dans les bureaux et les chiottes, se rejoindre dans les véhicules pour fricoter et aménager diverses rencontres afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
Récemment, pendant une sortie dite "éducative", à l’arrière de l’autocar, des élèves déjà ivres, "s’amusaient" avec "l’assistant d’éducation".
Une élève lui faisait une fellation.
Un "inspecteur de l’éducation nationale » a été informé par une élève, sa belle-fille qui était dans l’autocar.
Un procès a eu lieu durant le mois d’avril 2011.
"L’assistant d’éducation", connu pour des pratiques du même genre auxquelles il s’était déjà livré, a bénéficié du sursis !
Se reporter à mes textes intitulés "Enseignement", "Assistance éducative".
[40] Parmi elles, certaines, avec l’air de "sainte nitouche" attribuaient leur goût de cette "liberté" à la "révolution française" et à "mai 68".
Pour elles, La révolution française a ouvert les femmes à la baise patriotique, et mai 1968 au sexe sans frontières.
Se reporter à mon texte intitulé "S-cul-pture".
[41] Vendaient de l’herbe (hchich , hachich), du kif (cannabis) et autres.
[42] Les cours duraient jusqu’à 22 heures et j’en suivais beaucoup jusqu’à cette heure.
[43] La destruction et l’accaparement de biens collectifs étaient courants.
[44] Souk, marché.
[45] Pour je ne sais quels "services rendus".
[46] Certains, attirant des regards sur les braguettes, étaient en érection.
D’autres, se grattant le derrière ou entre les cuisses, tentaient de faire patienter des orifices en chaleur.
[47] Dont chacun et chacune blablataient en fonction de ce qui a été retenu de la propagande.
Les uns et les autres s’ingéniaient à mettre en relief ce qui pouvait les aider à se tailler une réputation de "doctrinaire", donnant accès à certaines "faveurs" recherchées.
[48] Qui pouvait s’entêter à pisser debout pour se distinguer des autres femelles !
[49] Une sorte de rituel con-sacré (consacré) qui illustrait le sein-bole (symbole) du "monde en devenir".
[50] Une telle débauche n’empêche pas ceux et celles qui veulent y résister de le faire, en s’appliquant, en se détournant des nuisances, et en faisant de leur mieux pour s’éloigner des influences néfastes.
C’est comme dans divers autres lieux où des débauchés mâles et femelles répandent le vice et l’avilissement qu’ils traduisent par "considération" et "valorisation", et qui, dans leur avidité à parler à tort et à travers, et à s’agiter dans tous les sens, cherchent à "philosopher" sur la "vertu" et la "chasteté", puis retrouvent parfois l’époux, l’épouse et les enfants pour jouer à la famille !
[51] Conformément.
[52] Dont le père était originaire d’Italie et la mère de la Drôme.
Se reporter à mes textes intitulés "Juillet 1973", "Mon épouse", "Forêt obscure".
[53] Bourse d’étude non négligeable, y compris en comparaison avec des bourses accordées par la France.
[54] Jusqu’à mon retour au Maroc en 1977.
[55] Notre deuxième fils est né au Maroc en 1978.
Se reporter à mes textes intitulés "Mars 1975", "Septembre 1978".
[56] Soutenance d’un mémoire sur la récupération des terres des colons au Maroc, et deux unités de valeur.
Les étudiants qui ne voulaient pas préparer un mémoire, devaient obtenir 10 unités de valeur dans la branche où la licence a été obtenue.
[57] Institut des Hautes Études Internationales.
[58] Je suis revenu du Maroc pour la soutenance d’un mémoire sur la question du Sahara marocain et les organisations internationales.
[59] Obligatoires à l’époque pour toute personne marocaine, détentrice d’une licence de l’enseignement universitaire.
[60] Le retour a eu lieu durant l’été 1981, peu de temps après l’installation du Président socialiste François Mitterrand pour 14 ans (de 1981 à 1995), sur le trône du Palais de l’Élysée.
Son slogan "changer la vie" (slogan de mai 68) a été appliqué pour lui permettre, avec un certain nombre de ses serviteurs, de s’offrir tous les luxes et tous les privilèges, comme ses prédécesseurs, et même plus.
Il a été remplacé par son alter ego de droite, Jacques Chirac qui est resté 12 ans sur le trône (2ème mandat de 5 ans au lieu de 7, suite à une réforme), avant de céder la place en 2007 à Nicolas Sarkozy qui pour les "élections" de 2012 n’était pas donné favori par rapport aux "chances" de son alter ego de gauche, Dominique Strauss Kahn, avant que celui-ci ne soit arrêté à New-york en mai 2011, pour crimes sexuels.
Se reporter à mes textes intitulés "USA", "Les défenseurs des mensonges », "L’étable de la loi", "Ikhkhaane".
[61] J’ai travaillé un peu en intérim, et j’ai fait des traductions pour la thèse d’un étudiant d’une famille aisée de Loubnaane (Liban).
[62] Sur le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et le principe de l’unité et de l’intégrité territoriales dans la question du Sahara Occidental.
[63] En 1979, l’université Paris-VIII-Vincennes a été transférée dans des locaux au département de la Seine-Saint-Denis (le neuf trois, 93), sur décision d’Alice Saunier Seïté, ministre des universités sous le règne de Valéry Giscard d’Estaing (Président de la République de 1974 à 1981).
Il a essayé de garder le trône, mais le sioniste de gauche, François Mitterrand y a été installé.
Les bâtiments de l’université de Paris VIII-Vincennes ont été rasés.
[64] Ayant effectué les démarches nécessaires, j’ai acquis la nationalité française selon la procédure dite "par déclaration" puisque marié à une française, et j’ai pu, sans attendre plusieurs années de "mise à l’épreuve" (condition supprimée par Valéry Giscard d’Estaing), passer un concours administratif qui ne nécessite pas tous ces diplômes et avoir un emploi dans la fonction publique.
Je n’ai pas opté pour la France afin de faire carrière.
Je ne suis pas dans « la justification » à posteriori, en
disant que j’ai quitté le Maroc pour fuir l’atmosphère avilissante entretenue
et répandue par un régime corrompu, fondé sur le crime, et maintenu par
l’impérialo-sionisme.
À
l’époque où j’ai décidé de partir, je ne m’exprimais pas ainsi, mais je ne le
sentais peut-être pas autrement.
J’ai quitté le Maroc pour ramener mon épouse au pays qu’elle a quitté
afin de m’accompagner, pour protéger nos enfants et, je le dis en mots que je
n’étais pas en mesure d’utiliser à l’époque, « pour ne pas me faire vider
de ce qui me remplit avant même que je ne sois de ce monde ».
Se reporter à mes textes intitulés "Évasion", "Imposture", "La cendre qu’emporte le vent".
[65] Diplôme qui ne m’a pas été utile non plus dans mon emploi.
[66] Alqoraane (Le Coran), sourate 100 (chapitre 100), Al’aadiyaate, Les Chevaux qui Galopent, aayate 1 à aayate 6 (verset 1 à verset 6).
Se reporter à mon texte intitulé "Atteinte à la sûreté de l’État".
[67] Prosternatoire, mosquée.
[68] La prière de vendredi, qui remplace celle d’addohr (début de l’après-midi).
[69] Attawhiid.
[70] Se reporter à mes textes intitulés "L’essence", "Un musulman pour l’Islaam".
[71] Se reporter à mon texte intitulé "Jusqu’au bout".
[72] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
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