Des personnes qu’il a croisées dans son cheminement jusqu’ici, n’arrivent pas à s’empêcher d’exprimer leur intérêt pour des plats de là-bas, dès qu’elles apprennent qu’il vient de l’autre côté de la mer blanche intermédiaire.[1]
Parmi elles, il lui arrive d’inviter quelques unes à manger un de ces plats.
En offrant ce mets, il remercie Allaah pour ce délice et pour les Bienfaits Infinis dont Il le comble.
Les personnes qui ne peuvent s’empêcher d’exprimer leur intérêt pour ces plats, se goinfrent, se « régalent » disent-elles, mais ne comprennent pas que c’est beaucoup plus qu’un plat, que c’est une fabuleuse fresque qui sent l’aube de la vie, un ruissellement de bien être, une immémoriale harmonie, une coulée de paix, une Miséricorde.
Lui a du mal à comprendre ces personnes, et n’arrive surtout pas à comprendre pourquoi ce pays où il s’est installé a « besoin » par exemple d’avoir trente six mille maires.[2]
Par contre, il a compris pourquoi aucune personne musulmane n’est à la tête de l’une des communes.
L’opposition à l’Islaam en France est très ancrée et se confond avec le mépris des « Arabes ».[3]
Les amalgames et les confusions sont alimentées et entretenues par les imposteurs.
‘Aliyy[4] n’hésite pas à redire indéfiniment qu’on peut s’appeler Mohammad ou Faatima, connaître la langue arabe, mettre des vêtements arabes, manger de la cuisine arabe et ne pas vivre l’Islaam, comme on peut s’appeler Jean ou Marie, David ou Sarah, Frantz ou Virginia, Boris ou Natacha, Yasumari ou Yuko, John ou Betty, Geronimo ou Belle-Fleur, ne pas connaître la langue arabe, ne pas mettre des vêtements arabes, ne pas manger de la cuisine arabe et vivre l’Islaam.
Autrement dit, répète-t-il, l’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité ou d’Etat.
L’imposture, Le faux, le mensonge, la falsification, le fantasme, le mythe et autres, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.[5]
L’Islaam[6] consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Ce qu’explique Alliyy n’arrête pas l’opposition à l’Islaam, ni les amalgames et les confusions alimentées et entretenues en France et à travers le monde.
En France,[7] les croyants et les croyantes[8] n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir intellectuel, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de pouvoir sportif, pas de président de la république, pas de ministre, pas de représentant à l’assemblée nationale, pas de représentant au sénat, pas de président de conseil régional, pas de président de conseil général, pas de président de parti politique, pas de président directeur général d’une entreprise importante et pas de MAIRE.[9]
‘Aliyy, comme ses ancêtres avant lui, pas les Gaulois, les AUTRES, le constate et poursuit sa Marche sur la Route de la Foi.
Sous la Protection d’Allaah.
À la Clarté du Message.
Il continue de Marcher.
Il a Marché avant.
Il a Marché après.
Il Marche encore.
Il Marchera toujours.[10]
Partout.
Il veille.[11]
BOUAZZA
Parmi elles, il lui arrive d’inviter quelques unes à manger un de ces plats.
En offrant ce mets, il remercie Allaah pour ce délice et pour les Bienfaits Infinis dont Il le comble.
Les personnes qui ne peuvent s’empêcher d’exprimer leur intérêt pour ces plats, se goinfrent, se « régalent » disent-elles, mais ne comprennent pas que c’est beaucoup plus qu’un plat, que c’est une fabuleuse fresque qui sent l’aube de la vie, un ruissellement de bien être, une immémoriale harmonie, une coulée de paix, une Miséricorde.
Lui a du mal à comprendre ces personnes, et n’arrive surtout pas à comprendre pourquoi ce pays où il s’est installé a « besoin » par exemple d’avoir trente six mille maires.[2]
Par contre, il a compris pourquoi aucune personne musulmane n’est à la tête de l’une des communes.
L’opposition à l’Islaam en France est très ancrée et se confond avec le mépris des « Arabes ».[3]
Les amalgames et les confusions sont alimentées et entretenues par les imposteurs.
‘Aliyy[4] n’hésite pas à redire indéfiniment qu’on peut s’appeler Mohammad ou Faatima, connaître la langue arabe, mettre des vêtements arabes, manger de la cuisine arabe et ne pas vivre l’Islaam, comme on peut s’appeler Jean ou Marie, David ou Sarah, Frantz ou Virginia, Boris ou Natacha, Yasumari ou Yuko, John ou Betty, Geronimo ou Belle-Fleur, ne pas connaître la langue arabe, ne pas mettre des vêtements arabes, ne pas manger de la cuisine arabe et vivre l’Islaam.
Autrement dit, répète-t-il, l’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité ou d’Etat.
L’imposture, Le faux, le mensonge, la falsification, le fantasme, le mythe et autres, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.[5]
L’Islaam[6] consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
Ce qu’explique Alliyy n’arrête pas l’opposition à l’Islaam, ni les amalgames et les confusions alimentées et entretenues en France et à travers le monde.
En France,[7] les croyants et les croyantes[8] n’ont pas de pouvoir financier, pas de pouvoir économique, pas de pouvoir militaire, pas de pouvoir politique, pas de pouvoir médiatique, pas de pouvoir intellectuel, pas de pouvoir sur les publications, pas de pouvoir cinématographique, pas de pouvoir artistique, pas de pouvoir sportif, pas de président de la république, pas de ministre, pas de représentant à l’assemblée nationale, pas de représentant au sénat, pas de président de conseil régional, pas de président de conseil général, pas de président de parti politique, pas de président directeur général d’une entreprise importante et pas de MAIRE.[9]
‘Aliyy, comme ses ancêtres avant lui, pas les Gaulois, les AUTRES, le constate et poursuit sa Marche sur la Route de la Foi.
Sous la Protection d’Allaah.
À la Clarté du Message.
Il continue de Marcher.
Il a Marché avant.
Il a Marché après.
Il Marche encore.
Il Marchera toujours.[10]
Partout.
Il veille.[11]
BOUAZZA
[1] Albahr alabyad almotawassite, la mer méditerranée.
[2] 36682 communes au 1er janvier 2009.
[3] Principalement de personnes installées en France, issues du processus migratoire, originaires pour la plupart d’Afrique du Nord, objets de discriminations, de stigmatisations, d’humiliations et autres déconsidérations et dont les pays d’origine sont pour la France impérialo-sioniste, des réserves de matières premières et de main d’œuvre, des marchés pour tout écouler, des points stratégiques pour les militaires, des terrains d’expérimentations des armements, des lieux de pédophilie et autres"loisirs touristes" de ce genre, des dépotoirs multiples et variés, des décharges d’immondices dans tous les domaines, j’en passe et des pires.
Les pourris, mis à la "tête" des "États" de ces pays exécutent les ordres de leurs employeurs impérialo-sionistes, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
[4] Ali.
[5] Se reporter à mon texte intitulé "Les Arabes aussi peuvent être Musulmans ».
[6] Depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix.
[7] Et ailleurs.
[8] Almouminoune wa almouminaate.
[9] Se reporter à mon texte intitulé "Intégmilation" (contraction des mots "intégration" et "assimilation".
[10] Ine chaa-e Allaah, si Dieu veut.
[11] Se reporter à mon texte intitulé "Il est zéro heure, Paris s’endort".
Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
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