L’endroit est « luxueux ».
Les invités « haut de gamme ».
L’orchestre « renommé ».
Le champagne de « grande qualité ».
Le jeune trompettiste s’éclipse discrètement en direction des toilettes « réservées aux musiciens ».
À son arrivée dans ce lieu d’aisance baigné par un éclairage tamisé, des gémissements sans équivoque ont commencé à le faire bander.
Il a décidé néanmoins de rebrousser chemin pour ne pas interrompre la partie, mais s’est arrêté subitement pour fixer la robe de « la mariée » sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans des toilettes.
La « mariée » se faisait enculer par un type qui soufflait comme un joueur de tennis lors d’un échange soutenu.
Elle s’offrait des « préliminaires » afin de se mettre en condition pour la « la nuit de noces ».
Il est reparti sans faire de bruit dans la direction opposée, vers les toilettes « tout public ».
« Le marié » était en train de se rouler un joint.
Lui avait « enterré sa vie de garçon » la semaine d’avant, en se tapant la sœur de « la mariée », avec laquelle le trompettiste baise de temps à autre.
Elle se dit « libérée » et s’envoie en l’air avec qui elle veut.
Y compris avec son chien, qui est le seul dit-elle, qui sait la lécher et lui procurer des orgasmes rares.
Adepte des « gay-pride »,[1] c’est une « figure » du « féminisme », connue pour son « militantisme » contre l’islam qui n’est pas pour le sexe en dehors des liens du mariage.
C’est un « crime » soupire-t-elle, la main sur le vagin.
Elle n’admet pas non plus que les croyantes se couvrent les cheveux.
C’est une « négation de la femme » souligne-t-elle.[2]
Après avoir fumé le joint avec son frère, le trompettiste a pissé puis a rejoint l’orchestre.[3]
BOUAZZA
Les invités « haut de gamme ».
L’orchestre « renommé ».
Le champagne de « grande qualité ».
Le jeune trompettiste s’éclipse discrètement en direction des toilettes « réservées aux musiciens ».
À son arrivée dans ce lieu d’aisance baigné par un éclairage tamisé, des gémissements sans équivoque ont commencé à le faire bander.
Il a décidé néanmoins de rebrousser chemin pour ne pas interrompre la partie, mais s’est arrêté subitement pour fixer la robe de « la mariée » sous la porte qui n’arrivait pas jusqu’en bas, comme c’est parfois le cas dans des toilettes.
La « mariée » se faisait enculer par un type qui soufflait comme un joueur de tennis lors d’un échange soutenu.
Elle s’offrait des « préliminaires » afin de se mettre en condition pour la « la nuit de noces ».
Il est reparti sans faire de bruit dans la direction opposée, vers les toilettes « tout public ».
« Le marié » était en train de se rouler un joint.
Lui avait « enterré sa vie de garçon » la semaine d’avant, en se tapant la sœur de « la mariée », avec laquelle le trompettiste baise de temps à autre.
Elle se dit « libérée » et s’envoie en l’air avec qui elle veut.
Y compris avec son chien, qui est le seul dit-elle, qui sait la lécher et lui procurer des orgasmes rares.
Adepte des « gay-pride »,[1] c’est une « figure » du « féminisme », connue pour son « militantisme » contre l’islam qui n’est pas pour le sexe en dehors des liens du mariage.
C’est un « crime » soupire-t-elle, la main sur le vagin.
Elle n’admet pas non plus que les croyantes se couvrent les cheveux.
C’est une « négation de la femme » souligne-t-elle.[2]
Après avoir fumé le joint avec son frère, le trompettiste a pissé puis a rejoint l’orchestre.[3]
BOUAZZA
[1] Parades des homosexuels et des lesbiennes.
[2] Se reporter à mon texte intitulé "S-cul-pture".
[3] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com
http://laroutedelafoi.blogspot.com
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