L’autocar roulait en direction du théâtre de l’Odéon à Paris.
Une sortie dite « éducative » comme d’innombrables autres que des parents payent à leurs enfants pour les « former ».
J’ai déjà écrit[1] que lors de sorties de ce genre, des accompagnateurs et des accompagnatrices, font voir aux élèves comment se tripoter et se rouler des pelles[2] en autocar.[3]
Au sujet de personnel dit « éducatif » j’ai aussi écrit[4] que beaucoup de personnes, au sein même de l’institution, souillent l’éducatif.
J’ai précisé qu’en effet, ces personnes, y compris parmi les «responsables», s’échangent des pétards[5], se roulent des pelles, se tripotent dans des recoins, se font des pipes, se lèchent, baisent dans les bureaux et les chiottes, se rejoignent dans les véhicules pour fricoter[6] et aménager diverses rencontres afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
J’ai fait référence au débat dans un établissement dit « éducatif », sur les difficultés du con-frère[7] et de la conne-soeur[8] qui «manquent de doigté pour s’introduire dans l’univers des élèves qui ne s’ouvrent pas», débat où il est souligné qu’il est vital de con-tinuer à réclamer l’installation de distributeurs à capotes[9] sur place, et la remise de la pilule du lendemain.[10]
L’autocar continuait de rouler.
À l’arrière, des élèves déjà ivres, s’amusaient avec « l’assistant d’éducation ».
Une élève lui fait deux fellations.
C’était dans les règles du « jeu ».
Les « professeurs » n’avaient rien vu !
Ils avaient d’autres occupations « éducatives ».
Un « inspecteur de l’éducation nationale » a cependant été informé.
Par une élève, sa belle-fille qui était dans l’autocar.
Le procès vient d’avoir lieu durant ce mois d’avril 2011.[11]
« L’assistant d’éducation », connu pour des « jeux » du même genre auxquels il s’était déjà livré, a été « condamné » à de la prison avec sursis !
D’autres autocars roulent toujours pour des sorties dites « éducatives ».[12]
BOUAZZA
[1] Se reporter à mon texte intitulé "Au long de la route".
[2] S’embrasser en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche.
Un ancien élève se souvient de "la pelle du 18 juin".
Ne pas confondre avec "l’appel du 18 juin" lancé par Charles de Gaulle à Londres en 1940, pour combattre l’occupation de la France par l’Allemagne, pendant que la France continuait à exterminer les populations qui résistaient au colonialisme français dans divers continents, y compris lorsque des années plus tard, ce même Charles de Gaulle était président de la République (cette "République" dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles).
Des milliers de personnes parmi les populations de pays colonisés ont servi de chair à canon contre l’Allemagne.
[3] Au retour de ces sorties dites "éducatives", des accompagnateurs et des accompagnatrices retrouvent leurs épouses ou leurs époux et jouent à la "famille".
Se reporter à mes textes intitulés "Enseignement", "Le savant de Marseille", "Défenseurs".
[4] Se reporter à mon texte intitulé "Enseignement".
[5] Des joints au cannabis ou autre.
[6] Ce qui n’empêche pas de retrouver les épouses et les époux.
[7] Confrère.
[8] Consoeur.
[9] Pour "se protéger con-tre les maladies sexuellement transmissibles".
[10] On réclame que cette pilule con-traceptive soit remise aux élèves qui n’ont pas pris celle de la veille, afin de "les protéger" con-tre la grossesse, de leur enseigner le "droit de jouir sans entraves", et de leur in-cul-quer le principe de "baisons futé" (à ne pas confondre avec «bison futé», qui désigne des actions mises en place pour aider le con-ducteur à "rouler malin").
[11] Et ce n’est pas un poisson d’avril !
[12] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
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