vendredi 29 avril 2011

NUL NE SERA LÉSÉ EN RIEN



« Et Nous plaçons les balances justes pour le Jour de la Résurrection et nul ne sera lésé en rien fût-ce du poids d’un grain de moutarde que Nous ferons venir. Et Nous suffisons pour dresser les comptes ».[1]



[1] Wa nadha’o almawaaziine alqiste liyawm alqiyaama falaa todhlamo nafçone chay-aa w aine kaane mithqaal habba mine khardal ataynaa bihaa. Wa kafaa binaa haaçibiine.
Alqoraane (Le Coran), sourate 21 (chapitre 21), Alanbiyaa-e, Les Prophètes, aayate 47 (verset 47).
Voir :
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jeudi 28 avril 2011

L’HEURE



Les imposteurs installés à la « tête » des États » dits « arabo-musulmans » ont des montres qui marchent, mais ils ne savent pas à quoi elles servent !
L’heure qu’ils connaissent est celle de l’imposture, de la débauche, de la corruption, de la pourriture, des horreurs, de la férocité, de la cruauté, des crimes, des tueries, de la merde qui dégouline de partout, de la décomposition, de la puanteur, de la négation de l’humain.[1]


BOUAZZA


mercredi 27 avril 2011

ASSISTANCE ÉDUCATIVE


L’autocar roulait en direction du théâtre de l’Odéon à Paris.
Une sortie dite « éducative » comme d’innombrables autres que des parents payent à leurs enfants pour les « former ».
J’ai déjà écrit[1] que lors de sorties de ce genre, des accompagnateurs et des accompagnatrices, font voir aux élèves comment se tripoter et se rouler des pelles[2] en autocar.[3]
Au sujet de personnel dit « éducatif » j’ai aussi écrit[4] que beaucoup de personnes, au sein même de l’institution, souillent l’éducatif.
J’ai précisé qu’en effet, ces personnes, y compris parmi les «responsables», s’échangent des pétards[5], se roulent des pelles, se tripotent dans des recoins, se font des pipes, se lèchent, baisent dans les bureaux et les chiottes, se rejoignent dans les véhicules pour fricoter[6] et aménager diverses rencontres afin de se livrer à des enculeries et autres explorations anatomiques.
J’ai fait référence au débat dans un établissement dit « éducatif », sur les difficultés du con-frère[7] et de la conne-soeur[8] qui «manquent de doigté pour s’introduire dans l’univers des élèves qui ne s’ouvrent pas», débat où il est souligné qu’il est vital de con-tinuer à réclamer l’installation de distributeurs à capotes[9] sur place, et la remise de la pilule du lendemain.[10]
L’autocar continuait de rouler.
À l’arrière, des élèves déjà ivres, s’amusaient avec « l’assistant d’éducation ».
Une élève lui fait deux fellations.
C’était dans les règles du « jeu ».
Les « professeurs » n’avaient rien vu !
Ils avaient d’autres occupations « éducatives ».
Un « inspecteur de l’éducation nationale » a cependant été informé.
Par une élève, sa belle-fille qui était dans l’autocar.
Le procès vient d’avoir lieu durant ce mois d’avril 2011.[11]
« L’assistant d’éducation », connu pour des « jeux » du même genre auxquels il s’était déjà livré, a été « condamné » à de la prison avec sursis !
D’autres autocars roulent toujours pour des sorties dites « éducatives ».[12]



BOUAZZA


[1] Se reporter à mon texte intitulé "Au long de la route".
[2] S’embrasser en s’introduisant mutuellement la langue dans la bouche.
Un ancien élève se souvient de "la pelle du 18 juin".
Ne pas confondre avec "l’appel du 18 juin" lancé par Charles de Gaulle à Londres en 1940, pour combattre l’occupation de la France par l’Allemagne, pendant que la France continuait à exterminer les populations qui résistaient au colonialisme français dans divers continents, y compris lorsque des années plus tard, ce même Charles de Gaulle était président de la République (cette "République" dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles).
Des milliers de personnes parmi les populations de pays colonisés ont servi de chair à canon contre l’Allemagne.
[3] Au retour de ces sorties dites "éducatives", des accompagnateurs et des accompagnatrices retrouvent leurs épouses ou leurs époux et jouent à la "famille".
Se reporter à mes textes intitulés "Enseignement", "Le savant de Marseille", "Défenseurs".
[4] Se reporter à mon texte intitulé "Enseignement".
[5] Des joints au cannabis ou autre.
[6] Ce qui n’empêche pas de retrouver les épouses et les époux.
[7] Confrère.
[8] Consoeur.
[9] Pour "se protéger con-tre les maladies sexuellement transmissibles".
[10] On réclame que cette pilule con-traceptive soit remise aux élèves qui n’ont pas pris celle de la veille, afin de "les protéger" con-tre la grossesse, de leur enseigner le "droit de jouir sans entraves", et de leur in-cul-quer le principe de "baisons futé" (à ne pas confondre avec «bison futé», qui désigne des actions mises en place pour aider le con-ducteur à "rouler malin").
[11] Et ce n’est pas un poisson d’avril !
[12] Voir :
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mardi 26 avril 2011

vendredi 22 avril 2011

VENDREDI



Nous sommes vendredi.
Le jour de salaate aljomo’a.[1]
Prendre un bain, faire les ablutions, se couper les ongles, se parfumer, mettre des vêtements propres,[2] lire un peu Alqoraane,[3] se rendre au masjid.[4]
Almasjid était un lieu où travaillait un de mes frères[5] au début des années soixante dix.
Il était ouvrier dans une usine de construction de voitures.
À l’époque, la majorité dite civile était à 21 ans, et pour l’envoyer travailler à la chaîne, notre père a modifié ses papiers d’identité afin de lui mettre d’avoir l’âge requis.[6]
Un jour, dans cette usine, le contre-maître a pris un ouvrier en « flagrant délit de prière » !
Il a failli le licencier, mais s’est contenté de lui donner un avertissement, en lui signifiant que la prière ne doit jamais s’accomplir sur un lieu de travail.
L’ouvrier, en croyant serein et confiant, lui a répondu qu’un jour, ine chaa-e Allaah,[7] l’usine sera un masjid où les croyants et les croyantes viendront célébrer la Miséricorde du Créateur.
C’est dans cette usine, aujourd’hui magnifique masjid, que je me rends pour la prière de vendredi : Alhamdo lillaah.[8]
Les croyants et les croyantes qui y viennent ont-ils entendu parler de l’ouvrier ?
Ils ont connu par contre le déchaînement des médias au service des ténèbres lorsqu’une « célébrité »[9], est revenue à l’Islaam, s’y rendait en foulard, pour prier.
Dans leur déchaînement, les ennemis d’Allaah ne savaient plus quoi dire pour dénoncer pour la mille et unième fois, le port du « voile ».
Ces ennemis ont les cœurs voilés : ils ne sentent rien, ne voient rien.
Les parfums et les couleurs des foulards ont embaumé, embaument et embaumeront jusqu’à la fin de l’existence ici-bas, un temps et un espace Autres.[10]
Ces ennemis éructent, sèment la souillure, la pourriture et la puanteur, perdent tout sens de la retenue et usent de toutes les insanités.
Mais les foulards continuent de fleurir.
Un printemps avec son chant joyeux.
Le chant de la Résistance.[11]
La Résistance des croyants et des croyantes depuis Aadame[12] sur lui la bénédiction et la paix.
« Nous leur montrerons Nos Signes dans les horizons et en eux-mêmes jusqu’à ce qu’il leur devienne évident que c’est la Vérité ».[13]



BOUAZZA


[1] La prière de vendredi.
Elle remplace celle d’Addohr (du début de l’après-midi).
Elle doit obligatoirement se faire en commun.
Quiconque se trouve dans l’impossibilité de l’accomplir, fait la prière d’addohr (le "r" roulé).
[2] Selon les possibilités.
[3] Le Coran.
[4] Almasjid, lieu de prosternation (du verbe « sajada », se prosterner), lieu de prière, mosquée.
[5] J’en avais un peu parlé dans d’autres textes.
[6] Vingt et un ans, au lieu de dix-neuf ans, pour pouvoir immigrer dans "les règles"je crois.
[7] Si Dieu veut.
[8] La Louange est à Allaah.
[9] Considérée comme chrétienne avant.
"Retour du cœur à sa patrie".
[9] Muhammad Asad, Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976.
[10] Se reporter à mon texte intitulé "jusqu’au bout".
[11] Tala’a albadro ‘alaynaa, la pleine lune s’est levée sur nous.
[12] Adam sur lui la bénédiction et la paix.
[13] Alqoraane, Le Coran, sourate 41, (chapitre 41), Fossilate, Les Versets Détaillés, aayate 53, (verset 53).
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À QUICONQUE CRAINT ALLAAH



« Ta-ha.[1] Nous n’avons pas fait descendre sur toi Alqoraane[2] pour que tu sois malheureux. Seulement un Rappel à quiconque craint. Descendu de la part de Celui qui a créé la terre et les cieux élevés. Le Clément[3] sur le Trône S’est établi. À Lui appartient ce qui est dans les cieux, dans la terre, entre eux et ce qui est sous le sol. Et si tu t’exprimes à voix audible, Il connaît le secret et ce qui est plus caché encore. Allaah nul Ilaah[4] que Lui, Il a les noms les plus Beaux ».[5]



[1] En arabe,"ta-ha" c’est en fait les deux lettres "t-h" vocalisées (usage d’achchakl).
Dans d’autres chapitres la prononciation intervient aussi, comme dans "ya-sin" (ya-e-siine), "y-s".
Il en est ainsi dans plusieurs chapitres du Livre.
Mohammad hamiid Allaah (Muhammad Hamidullah) précise dans sa traduction du Qoraane que "les sourates 2, 3, 7, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 19, 20, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 38, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50 et 68 commencent non par des mots, mais par des lettres de l’alphabet, détachées en n’ayant pas de sens particulier.
Le Prophète Mohammad lui-même, sur lui la bénédiction et la paix, ne semble pas avoir précisé leur signification, d’où d’innombrables interprétations suggérées par les commentateurs anciens et modernes.
Laissons-les alors telles quelles" (note de bas de page, Qoraane (Coran), sourate2 (chapitre 2), Albqara, La Vache, aayate 1 (verset 1), p. 2.
Kachriid souligne que "les trois lettres énigmatiques qui forment le premier verset du chapitre 2 sont l’un des mystères de Coran.
Certains disent que Allaah veut nous signifier ainsi que le Coran a été réalisé dans toute sa splendeur et sa perfection à partir des simples lettres de l’alphabet.
D’autres y trouvent des symboles qui auraient leur signification dans la langue syriaque.
D’autres enfin veulent les interpréter par la valeur numérique attribuée à chacune des lettres de l’alphabet.
Disons tout simplement que notre esprit n’arrivera jamais à épuiser tous les sens cachés de ce Livre sacré qui, selon un fameux hadith "sera ressuscité vierge le jour du jugement dernier" (yob’ath haadaa lkitaab yawma alqiyaama bikrane)".
Pour le verset 1, du chapitre 20, il ajoute que "la tradition veut que "Ta-Ha" et "Ya-Sin" soient des appellations élogieuses données par Allaah à Son Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix".
Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 2 et 406.
[2] Le Coran.
[3] Le très Miséricordieux.
[4] Divinité.
[5] Ta-ha. Maa anzalnaa ‘alayk Alqoraane litachqaa. Illaa tadhkira limane yakhchaa.Taneziilane mimmane khalaqa alardha wa assamaawaate al’olaa. Arrahmaane ‘alaa al’arche istawaa. Laho maa fii assamaawaate wa maa fii alardh wa maa baynahomaa wa maa tahte aththaraa. Wa ine tajhar bilqawl fa-i-nnaho ya’lame assir wa akhfaa. Allaah laa Ilaah illaa howw laho alasmaa-e alhosnaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 1 à aayate 8 (verset 1 au verset 8).
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jeudi 21 avril 2011

LES BIENS ET LES ENFANTS





« Les biens et les enfants sont l’ornement[1] de la vie ici-bas et les choses durables et bonnes sont meilleures auprès de ton Seigneur en tant que récompense et meilleures en tant qu’espérance ».[2]





[1] La parure.
[2] Almmaal wa albanoune ziinate alhayaate addonyaa wa albaaqiyaate assaalihaate khayre ‘inda Rabbik thawaabane wa khayre amalane.
Alqoraane (Le Coran), sourate 18 (chapitre 18), Alkahf, La Caverne, aayate 46 (verset 46).
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lundi 18 avril 2011

PAS D’OBEISSANCE

« Fais preuve d’endurance avec ceux qui invoquent leur Seigneur le matin et le soir, désirant Sa face,[1] et ne détourne pas tes yeux d’eux voulant le luxe de la vie d’ici-bas et n’obéis pas à celui dont Nous avons rendu le cœur inattentif à notre Rappel[2] et qui a suivi sa passion et dont le comportement est outrancier ».[3]


[1] "Nous avons déjà vu que la plus grande félicité des Croyants et leur meilleure récompense dans l’autre monde était le moment sublime où le Seigneur se dévoile à Ses créatures agréées et leur fait entendre Sa voix qui n’a rien de semblable à ce que nous avons dans ce bas monde. Quant à ceux qui affirment que nul ne verra jamais Allaah en se basant sur la réponse catégorique du Seigneur à Mouçaa (Moïse) sur lui la bénédiction et la paix : "Tu ne me verras pas" (lane taraanii), nous disons que cette réponse ne s’adresse nullement à ceux qui aurons supporté avec succès l’examen du Jugement suprême et qui, s’étant baignés dans la "rivière de la vie éternelle", seront des êtres immortels et aurons sous une forme parfaite et absolue toutes les facultés dont ils n’auront jamais joui auparavant que d’une façon imparfaite et relative. Mouçaa (Moïse) sur lui la bénédiction et la paix, en tant que mortel, ne verra pas Allaah, mais le Mouçaa (Moïse) sur lui la bénédiction et la paix du Paradis le verra "comme nous voyons le croissant de la pleine lune" (Hadiith du Messager et Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix)".

Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), note de bas de page, p. 384.

J’ai gardé Allaah au lieu de traduire par Dieu, et j’ai ajouté "sur lui la bénédiction et la paix" au sujet du Messager et Prophète Moïse (Mouçaa), sur lui la bénédiction et la paix, et au sujet du Messager et Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix.

Alhadiith, Hadiith (le Hadite, Hadite) renvoie à Assounna, c'est-à-dire à ce qui se rapporte à la conduite du Messager et Prophète Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.

Assounna procède d’Alqoraane (Le Coran).

Alqoraane est la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah à Ses créatures.

[2] Dont Nous avons rendu le cœur trop distrait pour Nous évoquer.

[3] Et dont toute l’œuvre n’a été que manquements aux prescriptions d’Allaah.

Alqoraane (Le Coran), sourate 18 (chapitre 18), Alkahf, La Caverne, aayate 28 (verset 28).

Voir :




vendredi 15 avril 2011

MÊME S’ILS SE SOUTIENNENT LES UNS LES AUTRES




« Dis : « Si les humains[1] et aljinne[2] se joignent les uns aux autres pour apporter comme ce Qoraane,[3] ils n’apporteront pas son pareil même s’ils se soutiennent les uns les autres ».[4]


[1] Al-i-nç.

[2] Les génies.

[3] Pour apporter, pour produire quelque chose de semblable à ce Coran.

[4] Qol la-i-ne ijtama’ate al-i-nç wa aljinne ‘alaa ane ya-e-tou bimitl haadaa alqoraane la aya-e-toune bimitlih wa law kaane ba’dhohome liba’dh dhahiirane. Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e (le "r" roulé), Le Voyage Nocturne, aayate 107 (verset 107).


Voir :





jeudi 14 avril 2011

PARURES




Parlant des épouses et des époux, Allaah nous dit dans Son Message[1] :
« Elles sont une parure pour vous et vous êtes une parure pour elles ».[2]





[1] Alqoraane (Le Coran) qui est la synthèse, la continuation et le parachèvement de ce Message.
[2] Hounna libaas lakome wa antome libaas lahonne.
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le "r" roulé), La Vache, aayate 187 (verset 187)
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mercredi 13 avril 2011

DÉCHARGES




J’ai déjà écrit[1] qu’en Afrique, la merde gicle et dégouline de partout.


Nauséabonde.

L’esclavage a fait des ravages.

Les crimes colonialistes n’ont rien épargné.

L’impérialo-sionisme continue d’alimenter, d’entretenir et de répandre les ordures, la pourriture, la puanteur et les ténèbres, en entretenant à domicile des employés pour cela.

En effet, les régimes mis en place par les employeurs des pays dominants, contribuent à faire de ce continent une décharge d’immondices dans tous les domaines.

J’ai donné des détails[2] en me référant aux pays dits « arabo-musulmans »,[3] pas seulement en Afrique, et en citant le « tiers-monde », où les régimes mis en place, sanguinaires et tyranniques, doivent veiller à maintenir l’oppression, et tout mettre en œuvre pour servir les intérêts de l’impérialo-sionisme.

Et lorsque les luttes des populations, la Résistance des croyants et des croyantes[4] obligent les imposteurs à la « tête » de ces régimes à dégager, et donc l’impérialo-sionisme à changer d’employés, les serviteurs pourris qui ont contribué à faire des pays où ils sévissent, des décharges, osent demander de partir dans « la dignité et l’honneur » !

Des mots dont ils n’ont jamais connu le sens véritable et qui pour eux signifient du fric, encore du fric, toujours du fric.

Je connais les arrières pensées des imposteurs d’hier et d’aujourd’hui, la corruption, la servilité, les compromissions, les trahisons, les viols, les crimes, les tortures du présent et du passé, les êtres fracassés, les rêves détournés, les espoirs évanouis et les esprits souillés.

Cela ne m’empêche pas cependant de me réjouir de la chute des criminels au service de l’impérialo-sionisme,[5] comme le 11 avril 2011 en Côte d’Ivoire[6] et ailleurs avant,[7] même si je sais que pour embaucher d’autres sanguinaires, corrompus, usurpateurs, spoliateurs, pilleurs, débauchés, pervers, vendus, traîtres, tueurs, j’en passe et des pires,[8] l’impérialo-sionisme n’a que l’embarras du choix, et que la fin des décharges n’est pas pour bientôt.[9]




BOUAZZA



[1] Se reporter à mon texte intitulé "Caca Africa".

[2] Se reporter à mon texte intitulé "De la cendre qu’emporte le vent".

[3] Se reporter à mon texte intitulé "Dépotoirs".

[4] Almouminoune wa almouminaate.

[5] Je recours même à l’art culinaire pour marquer l’événement, et prépare un bon "tajine".

Se reporter à mon texte intitulé "Attahriir" (le "r" roulé, la libération).

[6] Chute de Laurent Gbagbo qui refusait d’être licencié par ses employeurs et qui a répondu le crime sous toutes ses formes pour garder son emploi au service de l’impérialo-sionisme qui, pour mieux sauvegarder ses intérêts, a préféré le remplacer.

[7] Se reporter à mon texte intitulé "La chute des criminels".

[8] Se reporter à mon texte intitulé "Au suivant".

[9] Voir :




mardi 12 avril 2011

INVOQUER ALLAAH

« Ô vous qui croyez, invoquez Allaah[1] en invocation abondante ».[2]



[1] Évoquez Allaah, pensez à Allaah, rappelez-vous d’Allaah.

[2] Yaa ayyouhaa alladiina aamanou e-dhkorou Allaah dhikrane kathiirane. Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 41 (verset 41).

Voir :




lundi 11 avril 2011

TOUJOURS L’HUMILITÉ

« Et ne marche pas sur terre plein de suffisance, tu ne fonderas pas la terre et tu n’atteindras pas les montagnes en hauteur ».[1]



[1] Wa laa tamchi fi al-rdhi marahane innaka lane takhriq alardhe wa lane tablogh aljibaal toullane. Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e, Le Voyage Nocturne, aayate 37 (verset 37).

Voir :




samedi 9 avril 2011

DROIT CHEMIN ET ÉGAREMENT


« Quiconque prend le droit chemin le prend pour lui-même et quiconque s’égare, s’égare à son propre détriment ».[1]



[1] Mane ihtadaa fa-i-nnamaa yahtadii linafçih wa mane dhalla fa-i-nnamaa yadhillo ‘alayhaa. Alqoraane (Le Coran), sourate 17 (chapitre 17), Alisraa-e, Le Voyage Nocturne, aayate 15 (verset 15).

Voir :




vendredi 8 avril 2011

IL ÉGARE QUI IL VEUT ET IL GUIDE QUI IL VEUT

« Si Allaah avait voulu, Il vous aurait[1] fait une seule communauté[2] mais Il égare qui Il veut et Il guide qui Il veut. Et vous serez interrogés sur ce que vous faisiez ».[3]




[1] Il aurait fait de vous.

[2] Oumma.

[3] Wa law chaa-e Allaah laja’alakom omma waahida wa laakine yodhill mane yachaa-e wa yahdii mane yachaa-e. Wa latos-a-lonna ‘ammaa konetom ta’maloune.

Alqoraane (Le Coran), sourate 16 (chapitre 16), Annahl, Les Abeilles, aayate 93 (verset 93).


Voir :




mercredi 6 avril 2011

FLUX ET REFLUX




« Le luth, il le fit glisser sur ses genoux en un geste très lent, comme s’il se fût agi d’un enfant endormi. Les cordes, il les effleura du bout des doigts pour les réveiller. Puis il leur fit donner de la voix, à plein. Et voici : le passé rejoint le présent, l’instrument devient aussi vivant que l’arbre plein de sève qui lui a jadis offert son bois. Quatre cordes en boyau de chat, tendues à rompre. Placée au centre, la cinquième est en crin de cheval tressée : le bourdon. Naissant à partir de ce bourdon et y revenant à intervalles réguliers, à la fois pour y mourir et pour en renaître, monte la langue de la vie, musicale charnellement, monte, scande et bat selon l’alternance du jour et de la nuit, selon le déroulement des saisons, le flux et le reflux de tous les océans du monde, le déferlement des vents issus des quatre horizons du ciel, danse la mélodie de l’arbre du Destin, danse et vibre en flots ininterrompus de pulsations l’éternité sans durée. Sans néant ».[1]



[1] Driss Chraïbi, L’homme qui venait du passé, Paris, Denoël, p. 122.

Voir :







lundi 4 avril 2011

À QUELS SEINS SE VOUER ?




Dans une commune[1] du Nord, à Neuilly-en-Ferrain, le maire a décidé, suite à plusieurs mois de mé-con-tentement de la population, de mettre dans la salle des mariages, le buste officiel incarné par les seins d’une vedette de la cul-ture du mannequinat, pour remplacer celui, non- officiel, jugé pornographique pour cause de gros nichons.

Ainsi, les électeurs et les électrices, choqués par l’exhibition d’attraits non-officiels, ont trouvé que les appâts hors-normes ne valent pas les attributs légaux, et ont donc demandé les doudounes con-sensuelles, les lolos con-firmés, les tétons règlementaires, les miches autorisées, les seins-bols « républicains » !

Pour les mâles et les femelles des bites de la « liberté », des vagins de l’ « égalité », et des postérieurs de la « fraternité », il est « sain » de ne pas perdre de vue la « pudeur » en « République » ![2]



BOUAZZA



[1] Au pays des 36682 communes (au 1er janvier 2009).

[2] La personne qui n’approuve pas cette "pudeur" en "République", n’est pas en odeur de sein tété (sainteté) !

Voir :