vendredi 26 août 2011

TOUJOURS SUR LA PATHOLOGIE PERSISTANTE


J’ai déjà consacré quelques lignes aux dégâts du nombrilisme et aux agissements néfastes de ceux et de celles qui font n’importe quoi pour attirer l’attention,[1] et qui refusent d’admettre que c’est une pathologie.
Lorsqu’une personne tente de les aider, ils pensent qu’elle cherche à leur nuire, et s’acharnent par conséquent à s’opposer à elle en dépit du bon sens, à la contredire de manière stupide devant les autres, à ignorer de manière affligeante ce qui ne demande aucun effort pour être retenu, à s’entêter dans les caprices, et à ne faire qu’à leur tête.
Les croyants et les croyantes[2] se doivent de commander le convenable[3] et de proscrire le blâmable[4] : il leur appartient de ce fait de continuer à faire de leur mieux dans ce domaine.
Les médecins soignent, et Allaah guérit.[5]

BOUAZZA




[1] Se reporter à mes textes intitulés "Pathologie persistante" et "Encore sur la pathologie persistante".
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Alamr bilma’rouf (le "r" roulé).
[4] Annahy ‘ani almounekar (le "r" roulé).
[5] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/

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