J’ai déjà consacré quelques lignes aux dégâts du nombrilisme et aux agissements néfastes de ceux et de celles qui font n’importe quoi pour attirer l’attention,[1] et qui refusent d’admettre que c’est une pathologie.
Lorsqu’une personne tente de les aider, ils pensent qu’elle cherche à leur nuire, et s’acharnent par conséquent à s’opposer à elle en dépit du bon sens, à la contredire de manière stupide devant les autres, à ignorer de manière affligeante ce qui ne demande aucun effort pour être retenu, à s’entêter dans les caprices, et à ne faire qu’à leur tête.
Les croyants et les croyantes[2] se doivent de commander le convenable[3] et de proscrire le blâmable[4] : il leur appartient de ce fait de continuer à faire de leur mieux dans ce domaine.
Les médecins soignent, et Allaah guérit.[5]
BOUAZZA
[1] Se reporter à mes textes intitulés "Pathologie persistante" et "Encore sur la pathologie persistante".
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Alamr bilma’rouf (le "r" roulé).
[4] Annahy ‘ani almounekar (le "r" roulé).
[5] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
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