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dimanche 4 septembre 2011
vendredi 2 septembre 2011
ORDURES
Les luttes des populations, la Résistance des croyants et des croyantes[1] contre les ordures, ne datent pas d’aujourd’hui.
Les mensonges, les escroqueries, les attaques, les insultes, les injustices, les calomnies, les humiliations et autres n’empêcheront jamais les luttes et la Résistance.
Les oppressions, les pillages, les carnages, les déportations, les transplantations, les enfermements, les tortures et les multiples crimes n’arrêteront jamais les luttes et la Résistance.
Les invasions, les destructions, les tueries, les assassinats, les massacres, et toutes les horreurs ne mettront jamais fin aux luttes et à la Résistance.
Je reprends ce que j’ai déjà dit et redit mille et une fois.
Je le reprendrai ine chaa-e Allaah,[2] jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Et particulièrement ce qui a trait aux ordures à la tête des « États » dits « arabo-musulmans »,[3] les pilleurs des richesses[4] au service de leurs employeurs impérialo-sionistes et autres.
Devant l’ampleur des luttes des populations et de la Résistance des croyants et des croyantes, l’impérialo-sionisme, toujours très soucieux de ses intérêts, cherche à remplacer la « vitrine » trompeuse de ces régimes par une « nouvelle vitrine », et fait semblant de soutenir « le combat « libératoire » !
Il adapte sa stratégie pour continuer par tous les moyens, l’oppression, les pillages, les massacres et autres multiples agressions à l’échelle planétaire, en acceptant, lorsque c’est nécessaire, que certains de ses employés soient dégagés.
Le remplacement des employés par d’autres ne lui pose pas de problème.[5]
En effet, Lorsque les serviteurs montrent quelque incapacité au service de l’impérialo-sionisme, ils sont congédiés, remplacés par d’autres et parfois, les employeurs, comme « jadis », interviennent directement pour défendre leur ordre « bienfaisant »[6] et répandre le « progrès » !
Pour cela, l’impérialo-sionisme recourt à un discours « différent » destiné à alimenter et à entretenir la confusion.
Dans divers textes, [7] j’ai souligné que ces ordures se font livrer des culs cosmopolites[8] dits stars, artistes, écrivains, et autres et qu’ils raffolent des putes sans frontières et des partouzes mondialistes.
Partout, les dévoyés, pervers et pourris de ces « États » dits « arabo-musulmans », qui dégoulinent d’argent sale, de trahison et de puanteur répandent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels recherchés.
Les débauchés y sont reçus avec tous les égards pour s’adonner à toutes les frasques, et en premier lieu à la pédophilie et repartent avec des cadeaux de valeur « offerts » par des « dirigeants » mis en place pour les servir.
Certains ont des palais sur place, et sont fournis en enfants, garçons et filles, pour « pimenter » leurs ébats.
Ces ordures commettent depuis des lustres les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds dans des pays où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus, sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est généralisée, où le vice règne, où la pourriture dégouline de partout, où la puanteur n’épargne aucun domaine, et où la notion d’être humain ne signifie rien.
Tout cela n’empêche pas ces ordures de se réclamer de l’Islaam, alors que l’Islaam les rejette, les dénonce, les condamne et les combat depuis toujours.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité ou d’État.
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer[9] Allaah, comme Allaah le demande.
Les luttes des populations et la Résistance des croyants et des croyantes contre les ordures, vont se poursuivre encore et encore.
« Et l’avenir est à la piété ».[10]
BOUAZZA
Les mensonges, les escroqueries, les attaques, les insultes, les injustices, les calomnies, les humiliations et autres n’empêcheront jamais les luttes et la Résistance.
Les oppressions, les pillages, les carnages, les déportations, les transplantations, les enfermements, les tortures et les multiples crimes n’arrêteront jamais les luttes et la Résistance.
Les invasions, les destructions, les tueries, les assassinats, les massacres, et toutes les horreurs ne mettront jamais fin aux luttes et à la Résistance.
Je reprends ce que j’ai déjà dit et redit mille et une fois.
Je le reprendrai ine chaa-e Allaah,[2] jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Et particulièrement ce qui a trait aux ordures à la tête des « États » dits « arabo-musulmans »,[3] les pilleurs des richesses[4] au service de leurs employeurs impérialo-sionistes et autres.
Devant l’ampleur des luttes des populations et de la Résistance des croyants et des croyantes, l’impérialo-sionisme, toujours très soucieux de ses intérêts, cherche à remplacer la « vitrine » trompeuse de ces régimes par une « nouvelle vitrine », et fait semblant de soutenir « le combat « libératoire » !
Il adapte sa stratégie pour continuer par tous les moyens, l’oppression, les pillages, les massacres et autres multiples agressions à l’échelle planétaire, en acceptant, lorsque c’est nécessaire, que certains de ses employés soient dégagés.
Le remplacement des employés par d’autres ne lui pose pas de problème.[5]
En effet, Lorsque les serviteurs montrent quelque incapacité au service de l’impérialo-sionisme, ils sont congédiés, remplacés par d’autres et parfois, les employeurs, comme « jadis », interviennent directement pour défendre leur ordre « bienfaisant »[6] et répandre le « progrès » !
Pour cela, l’impérialo-sionisme recourt à un discours « différent » destiné à alimenter et à entretenir la confusion.
Dans divers textes, [7] j’ai souligné que ces ordures se font livrer des culs cosmopolites[8] dits stars, artistes, écrivains, et autres et qu’ils raffolent des putes sans frontières et des partouzes mondialistes.
Partout, les dévoyés, pervers et pourris de ces « États » dits « arabo-musulmans », qui dégoulinent d’argent sale, de trahison et de puanteur répandent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des pays où ils sévissent des bordels recherchés.
Les débauchés y sont reçus avec tous les égards pour s’adonner à toutes les frasques, et en premier lieu à la pédophilie et repartent avec des cadeaux de valeur « offerts » par des « dirigeants » mis en place pour les servir.
Certains ont des palais sur place, et sont fournis en enfants, garçons et filles, pour « pimenter » leurs ébats.
Ces ordures commettent depuis des lustres les crimes les plus abominables, les plus nauséabonds dans des pays où la torture sous toutes ses formes est quotidienne, où des hommes sont enfermés, battus, sodomisés, tués, où des femmes sont méprisées, humiliées, violées, achevées, où des enfants sont enlevés, maltraités, affamés, éliminés, où la corruption est généralisée, où le vice règne, où la pourriture dégouline de partout, où la puanteur n’épargne aucun domaine, et où la notion d’être humain ne signifie rien.
Tout cela n’empêche pas ces ordures de se réclamer de l’Islaam, alors que l’Islaam les rejette, les dénonce, les condamne et les combat depuis toujours.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité ou d’État.
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer[9] Allaah, comme Allaah le demande.
Les luttes des populations et la Résistance des croyants et des croyantes contre les ordures, vont se poursuivre encore et encore.
« Et l’avenir est à la piété ».[10]
BOUAZZA
[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Si Allaah veut.
[3] Les croyants et les croyantes savent que ces "États" n’ont rien à voir avec l’Islaam, que les individus placés à leur "tête" sont des imposteurs et que depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
[4] Qui se chiffrent pour certains en plusieurs dizaines de milliards de dollars, des richesses dilapidées sans compter pendant que des populations sont affamées.
[5] Il n’a que l’embarras du choix.
[6] Avec la participation des "organisations humanitaires".
[7] Se reporter à mes textes intitulés "Filistiine", "Évasion", "De Charybde en Scylla", « Les Arabes peuvent aussi être Musulmans", "Soumission", "Finance "islamique" ", "Des "États" dits "musulmans" ", "L’indépendance dans l’interdépendance", "Atteinte à la sûreté de l’État", "Imposture", "Leur Rakech", "L’héritier", "Alfaçaade", "Attahriir", "Au suivant", "Casser les vitrines", "Combattre ?", "De la cendre qu’emporte le vent", "De père en fils", "Décharges", "Dépotoirs", " "États" pions", "Imposteurs", "La chute des criminels", "La voix de son maître", "Le couchant", "Le débauché", "Les pays des drones adhèrent", "Les pets de lisse lame", "Lmslm", "l’ordure", "Réserves pour Palestiniens".
[8] Ils ont des "chargés d’affaires" un peu partout avec rang "d’ambassadeurs", dont la mission est de les fournir en sexe.
[9] Adoration : ‘Ibaada.
[10] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
jeudi 1 septembre 2011
LMLHOUNE
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Une sorte de littérature dite populaire chantée avec un accompagnement musical, dont la naissance et l’essor, sont attribués à des artisans.
Elle a vu le jour paraît-il au Mghrib,[3] au 15ème siècle.[4]
Les thèmes véhiculés sont divers et se présentent sous forme de « qaçaa-ide »,[5] se référant à l’Islaam[6] par exemple, à des faits historiques, à l’attachement au pays, au travail, et aussi à des choses immorales.[7]
Je ne connais pas grand-chose à cette littérature, et j’ai été étonné de constater que des ouvrages de cette nature lui soient consacrés et édités au Mghrib.
Je pensais vaguement que « lmlhoune » avait un lien avec « ttarab l-anedaloçiyy »,[8] chants accompagnés de musique, pratiqués en Espagne au temps de la présence dite « musulmane », et transportés au Mghrib.
Mais il n’en est rien semble-t-il.
J’ai adressé un « mail » à une de mes sœurs,[9] installée à ddaar lbiidaa[10] pour lui signaler ce livre et lui dire qu’il m’a fait penser à ma belle-mère qui m’a fait découvrir le peu que je connais du « mlhoune ».
J’étais jeune adolescent et ma belle-mère qui passait du temps à écouter « lmlhoune » à la radio, connaissait certaines « qaçaa-ide » par cœur et nous en parlait parfois.
Depuis le « mail », cette sœur est arrivée en France pour installer sa fille, jeune bachelière venue pour entreprendre des études universitaires.
Elle m’a fait écouter sur le portable de ma nièce, un très court enregistrement réalisé par sa mère, spécialement pour moi.
À la fin de ce très court enregistrement de quelques mots d’une « qaçiida »,[11]ma belle-mère me faisait part de son souhait qu’il me serve à ne pas l’oublier après sa mort.
Je découvrais, étonné, une voix saisissante.
Ma sœur qui l’a eue au téléphone le jour même, me l’a passée.
Elle m’a encore parlé de sa mort.
J’ai répondu que la mort est au bout du parcours de chacun ici-bas.
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
J’ai revu une photo des années cinquante.
Je me tenais debout à sa gauche.
Je devais avoir quatre ans et elle dix-neuf., souriante sous un abricotier[12] du jardin de la maison que nous occupions à Tafraoute.[13]
Elle n’avait pas dix sept ans lorsqu’elle est devenue la femme de mon père.[14]
Aujourd’hui, elle en a soixante seize ans.
Il y a quelque temps, j’avais écrit ce texte[15] mis sur le « blog » :
Mère et belle mère.
Une m’a enfanté et on m’a arraché à elle.
L’autre m’a élevé et je l’ai peu connue.
La force physique baisse.
Les yeux ont été opérés.
Deux mères aujourd’hui âgées, sentant approcher le bout du chemin ici-bas.
Je pense à elles et j’invoque Allaah pour qu’Il les couvre de Sa Miséricorde et ne les prive pas de la vue : la Vraie.
« La cécité n’atteint pas les yeux, mais les cœurs qui sont dans les poitrines ».[16]
Depuis, le temps imparti par Allaah à ma mère ici-bas s’est achevé.[17]
Celui qui nous est imparti va s’achever aussi, et Seul Allaah sait à quel moment chacun d’entre nous va rejoindre l’au-delà.
Qu’Allaah nous éclaire, nous guide, et fasse que nous soyons parmi les heureux.[18]
BOUAZZA
[1] Enseignant universitaire et journaliste, qui me consacre du temps chaque fois qu’il est de passage en France.
[2] Fouad Guessous, Anthologie de la poésie du Melhoun marocain, éditions de l’association 1200ème anniversaire de la fondation de la ville de Fès, 2008.
[3] Le "r" roulé, Maroc.
[4] Selon le calendrier dit Grégorien.
[5] Pluriel de "qaçiida", qui peut se traduire par poème.
[6] L’Islaam consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[7] Fawaahich, pluriel de faahicha.
Alfahchaa-e (l’immoralité), fahcha-e (immoralité).
[8] Attarab al-anedaloçiyy (le "r" roulé), la musique dite andalouse.
[9] La deuxième fille de la troisième épouse de mon père.
[10] Casablanca.
[11] Singulier de "qaçaa-ide".
[12] Je parle d’un abricotier parce que je crois que c’est souvent ce que j’ai entendu dire.
[13] Tafraout (le « r » roulé) : petit village à l’époque, dans les montagnes dites de l’Anti-Atlas au Maghrib.
Se reporter à mon texte intitulé "Tafraoute".
[14] Se reporter à mon texte intitulé "Ma belle-mère".
[15] Intitulé "La vue".
[16] Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 46 (verset 46).
[17] Le samedi 28 juin 2008.
[18] Voir :
http://raho.over-blog.com/
http://paruredelapiete.blogspot.com/
http://ici-bas-et-au-dela.blogspot.com/
http://laroutedelafoi.blogspot.com/
mardi 30 août 2011
‘IIDE MOBAARAK
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Les années s’en vont.
Les saisons reviennent.
Le mois de ramadaane[1] est parti.
Il reviendra ine chaa-e Allaah[2] jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Toujours accueilli avec Bonheur par les croyants et les croyantes.[3]
Mardi 1er chouwwaal 1432.[4]
‘Iide alfitr.[5]
Salaate al’iide[6] en commun.
Hommes, femmes et enfants.
Caressés par le ciel.
Merveille de la table servie le matin.
Plaisir de préparer lghdaa.[7]
Ziite.[8]
Bçlaa.[9]
Toumaa.[10]
Djaaj.[11]
Mlhaa.[12]
Ibzaar.[13]
Khrqoume.[14]
Skinejbiir.[15]
Qzbour.[16]
M’ednous.[17]
Maa.[18]
Btaataa.[19]
Matichaa.[20]
Zitoune.[21]
Arômes.
Saveurs.
Couleurs.
Nuances.
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
Rythmes.
Émotions.
Larmes.
Invocations.
Humilité.
Reconnaissance.
Recueillement.[22]
BOUAZZA
[1] Le "r" roulé, ramadan, le mois du jeûne.
[2] Si Allaah veut.
[3] Almouminoune wa almouminaate.
[4] Année d’alhijra (l’hégire), correspondant au 30 août 2011, selon le calendrier dit Grégorien.
[5] Le "r" roulé, la fête de la rupture du jeûne.
‘Iide mobaarak, fête bénie.
[6] Prière de la fête.
[7] Le déjeuner.
[8] Huile.
[9] Oignons.
[10] Ail.
[11] Poulet.
[12] Sel.
[13] Le "r" roulé, poivre.
[14] Le "r" roulé, curcuma.
[15] Le "r" roulé, gingembre.
[16] Le "r" roulé, coriandre.
[17] Persil.
[18] Eau.
[19] Pommes de terre.
[20] Tomates.
[21] Olives.
[22] Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
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http://laroutedelafoi.blogspot.com
dimanche 28 août 2011
COMME « TONTON » JADIS
Autrefois, après sept années sur le trône du palais de l’Élysée, François Mitterrand, président socialiste de la ré-pub-lique, a été désigné pour y passer encore sept autres années, en dépit de son cancer qu’il s’est ingénié à cacher, depuis son installation sur le trône en 1981.[1]
Il fallait qu’il reste au palais pour veiller sur « le paradis qu’il avait mis en place au profit du peuple » !
Il n’avait pas besoin que ses employeurs lui rappellent les commandes.
Il les connaissait depuis toujours.
Il était bon exécuteur, et savait les satisfaire au-delà de ce qu’ils voulaient, tout en flattant « le peuple ».
Le renouvellement du bail ne posait donc aucun problème.[2]
« Tonton », c'est-à-dire l’individu installé sur le trône de l’Élysée, avait néanmoins décidé d’écrire une lettre aux Français.
De l'écrire lui-même.
Pour cela, il s'était retiré à la campagne.
La télévision, la radio, les journaux et autres étaient chargés de le faire savoir.
« Tonton » était en train d’écrire une lettre.
Il l'écrivait tout seul.
Lorsqu'il avait été désigné pour un premier septennat, ce « révolutionnaire » avait dit qu'il allait « changer la vie ».
Mais une fois sur le trône, il avait changé d’avis, et s’énervait d’entendre dire que ses sujets ne croyaient plus en ses promesses.
Alors, clignant des yeux, il répétait :
« Euuh... euuh... il faut laisser le temps au thon ».[3]
Un slogan « révolutionnaire » de son règne !
Avec des références au « temps des sœurs Ise ».[4]
Et « sœur Ise sur le gâteux, »[5] il s’engageait à tout expliquer dans la lettre.
Une lettre claire, avec premièrement, deuxièmement et troisièmement.
À la télévision, un « journaliste » avait réalisé une interview en direct :[6]
─ Vous êtes socialiste, et vos employeurs sont satisfaits de votre règne qu’ils ont décidé de prolonger.
Dans un ouvrage publié par « Marabout » (tiens, ce mot doit vous rappeler beaucoup de choses, les massacres dans les colonies d’Afrique du Nord par exemple, lorsque vous étiez ministre, mais ce n'est pas l'objet de cette émission), dans cet ouvrage donc, où dès le début vous tenez à souligner que vous en êtes réellement l'auteur (c'est une obsession chez vous de préciser que vous savez écrire), vous parlez, entre autres des élections.
Des élections au temps d'un homme qui a eu le trône de l'Elysée avant vous.
Charles De Gaulle pour ne pas le nommer.
Vous l'avez toujours considéré comme un homme qui vous a usurpé ce trône parce que vous avez estimé que ce trône vous revenait de droit.
Vous avez considéré comme usurpateurs aussi, ceux qui lui ont succédé avant vous. Maintenant vous êtes sur le trône, et vous considérez comme usurpateurs ceux qui veulent vous remplacer.
Mais passons.
Au sujet des élections donc, vous avez écrit (vous personnellement, je sais, vous me l’avez déjà dit, vous savez écrire) :
« Déjà tout est prêt pour que se déclenche la formidable machine à broyer la conscience civique que le pouvoir personnel et son complice l'argent, ont mise en place ».
Bien.
Pour votre premier septennat, c'est fait.
Mais pour le second, est-ce que tout est toujours prêt ?
─ La lettre que je suis en train d'écrire moi-même aux Français sera claire et analysera premièrement, deuxièmement et troisièmement.
─ En parlant des Français, toujours dans le même ouvrage, vous avez écrit (vous personnellement, je sais, vous me l’avez déjà dit, vous savez écrire) :
« Le grand capital international a lancé des plans sur l'ensemble du monde capitaliste et du tiers-monde, dont la France n'est malheureusement que l'exécutant à partir du moment où elle est sous la coupe d'hommes politiques conservateurs qui épousent la théorie économique et politique du grand capital multinational ».
C’est la théorie que vous épousez vous-même sans rien y comprendre.
Alors qu’est-ce que vous voulez dire ?
─ La lettre que je suis en train d'écrire moi-même aux Français sera claire et analysera premièrement, deuxièmement et troisièmement.
─ Certains continuent de vous attribuer des principes.
Pourtant vous avez écrit (vous personnellement, je sais, vous me l’avez déjà dit, vous savez écrire) :
« Les principes, c'est quoi ? Des banalités... de merveilleuses banalités lorsqu'ils n'existent plus. »
Qu’est-ce que vous en pensez ?
─ La lettre que je suis en train d'écrire moi-même aux Français sera claire et analysera premièrement, deuxièmement et troisièmement.
Une jeune pulpeuse s’était penchée pour remettre le micro à tonton.
Les érections[7] présidentielles, elle connaît.
Ses seins s’étaient posés sur le visage élyséen et avaient donné au « révolutionnaire » l’éclat du socialisme français: celui d’une bouse de vache.
Le directeur de la chaîne de télévision, nommé par ce « révolutionnaire », ne décolérait pas contre « le journaliste » chargé de l’émission, en hurlant que l’interview en direct ne passerait pas :
─ C'est insultant…
─ Oui je sais que c'est un sultan.[8]
À l’époque, une fille de son père,[9] améliorait son apprentissage sous « tonton ».
L’initiateur s’y connaissait, et en faisait profiter d’autres femelles.
L’une d’elles,[10] revendiquant l’héritage, se voyait déjà sur le trône en 2007.
Habillée par de « grands couturiers », elle avait fait des défilés vestimentaires à travers des Etats, dont la Ré-pub-lique de Chine dite « populaire », appréciée comme « empire du milieu » !
Dans cet État, elle avait insisté sur son « ouverture », et dévoilé une certaine attirance pour la « langue ».
« BRAVITUDE » avait-elle lancé, en pensant à l’érudition cul-turelle de « tonton ».[11]
Mais revenons à la fille de son père qui veut aujourd’hui,[12] être installée sur le trône, comme « la vraie » héritière de « tonton ».
Contestant aux d’autres, « le droit à l’héritage », elle a décidé, comme « tonton » jadis, d’écrire une lettre aux Français.[13]
BOUAZZA
Il fallait qu’il reste au palais pour veiller sur « le paradis qu’il avait mis en place au profit du peuple » !
Il n’avait pas besoin que ses employeurs lui rappellent les commandes.
Il les connaissait depuis toujours.
Il était bon exécuteur, et savait les satisfaire au-delà de ce qu’ils voulaient, tout en flattant « le peuple ».
Le renouvellement du bail ne posait donc aucun problème.[2]
« Tonton », c'est-à-dire l’individu installé sur le trône de l’Élysée, avait néanmoins décidé d’écrire une lettre aux Français.
De l'écrire lui-même.
Pour cela, il s'était retiré à la campagne.
La télévision, la radio, les journaux et autres étaient chargés de le faire savoir.
« Tonton » était en train d’écrire une lettre.
Il l'écrivait tout seul.
Lorsqu'il avait été désigné pour un premier septennat, ce « révolutionnaire » avait dit qu'il allait « changer la vie ».
Mais une fois sur le trône, il avait changé d’avis, et s’énervait d’entendre dire que ses sujets ne croyaient plus en ses promesses.
Alors, clignant des yeux, il répétait :
« Euuh... euuh... il faut laisser le temps au thon ».[3]
Un slogan « révolutionnaire » de son règne !
Avec des références au « temps des sœurs Ise ».[4]
Et « sœur Ise sur le gâteux, »[5] il s’engageait à tout expliquer dans la lettre.
Une lettre claire, avec premièrement, deuxièmement et troisièmement.
À la télévision, un « journaliste » avait réalisé une interview en direct :[6]
─ Vous êtes socialiste, et vos employeurs sont satisfaits de votre règne qu’ils ont décidé de prolonger.
Dans un ouvrage publié par « Marabout » (tiens, ce mot doit vous rappeler beaucoup de choses, les massacres dans les colonies d’Afrique du Nord par exemple, lorsque vous étiez ministre, mais ce n'est pas l'objet de cette émission), dans cet ouvrage donc, où dès le début vous tenez à souligner que vous en êtes réellement l'auteur (c'est une obsession chez vous de préciser que vous savez écrire), vous parlez, entre autres des élections.
Des élections au temps d'un homme qui a eu le trône de l'Elysée avant vous.
Charles De Gaulle pour ne pas le nommer.
Vous l'avez toujours considéré comme un homme qui vous a usurpé ce trône parce que vous avez estimé que ce trône vous revenait de droit.
Vous avez considéré comme usurpateurs aussi, ceux qui lui ont succédé avant vous. Maintenant vous êtes sur le trône, et vous considérez comme usurpateurs ceux qui veulent vous remplacer.
Mais passons.
Au sujet des élections donc, vous avez écrit (vous personnellement, je sais, vous me l’avez déjà dit, vous savez écrire) :
« Déjà tout est prêt pour que se déclenche la formidable machine à broyer la conscience civique que le pouvoir personnel et son complice l'argent, ont mise en place ».
Bien.
Pour votre premier septennat, c'est fait.
Mais pour le second, est-ce que tout est toujours prêt ?
─ La lettre que je suis en train d'écrire moi-même aux Français sera claire et analysera premièrement, deuxièmement et troisièmement.
─ En parlant des Français, toujours dans le même ouvrage, vous avez écrit (vous personnellement, je sais, vous me l’avez déjà dit, vous savez écrire) :
« Le grand capital international a lancé des plans sur l'ensemble du monde capitaliste et du tiers-monde, dont la France n'est malheureusement que l'exécutant à partir du moment où elle est sous la coupe d'hommes politiques conservateurs qui épousent la théorie économique et politique du grand capital multinational ».
C’est la théorie que vous épousez vous-même sans rien y comprendre.
Alors qu’est-ce que vous voulez dire ?
─ La lettre que je suis en train d'écrire moi-même aux Français sera claire et analysera premièrement, deuxièmement et troisièmement.
─ Certains continuent de vous attribuer des principes.
Pourtant vous avez écrit (vous personnellement, je sais, vous me l’avez déjà dit, vous savez écrire) :
« Les principes, c'est quoi ? Des banalités... de merveilleuses banalités lorsqu'ils n'existent plus. »
Qu’est-ce que vous en pensez ?
─ La lettre que je suis en train d'écrire moi-même aux Français sera claire et analysera premièrement, deuxièmement et troisièmement.
Une jeune pulpeuse s’était penchée pour remettre le micro à tonton.
Les érections[7] présidentielles, elle connaît.
Ses seins s’étaient posés sur le visage élyséen et avaient donné au « révolutionnaire » l’éclat du socialisme français: celui d’une bouse de vache.
Le directeur de la chaîne de télévision, nommé par ce « révolutionnaire », ne décolérait pas contre « le journaliste » chargé de l’émission, en hurlant que l’interview en direct ne passerait pas :
─ C'est insultant…
─ Oui je sais que c'est un sultan.[8]
À l’époque, une fille de son père,[9] améliorait son apprentissage sous « tonton ».
L’initiateur s’y connaissait, et en faisait profiter d’autres femelles.
L’une d’elles,[10] revendiquant l’héritage, se voyait déjà sur le trône en 2007.
Habillée par de « grands couturiers », elle avait fait des défilés vestimentaires à travers des Etats, dont la Ré-pub-lique de Chine dite « populaire », appréciée comme « empire du milieu » !
Dans cet État, elle avait insisté sur son « ouverture », et dévoilé une certaine attirance pour la « langue ».
« BRAVITUDE » avait-elle lancé, en pensant à l’érudition cul-turelle de « tonton ».[11]
Mais revenons à la fille de son père qui veut aujourd’hui,[12] être installée sur le trône, comme « la vraie » héritière de « tonton ».
Contestant aux d’autres, « le droit à l’héritage », elle a décidé, comme « tonton » jadis, d’écrire une lettre aux Français.[13]
BOUAZZA
[1] Selon le calendrier dit Grégorien.
[2] Il est resté sur le trône sept autres années.
Depuis, le quinquennat a été mis en place.
Nicolas Sarkozy, installé sur le trône en 2007, aimerait, si ses employeurs n’y voient pas d’inconvénient, rester sur le trône en 2012 pour cinq autres années.
[3] Laisser le temps au temps.
[4] Allusion au "temps des cerises", chanson de 1866 considérée comme une chanson "engagée" concernant le soulèvement populaire dit "Commune de Paris" qui lui, date de 1871 !
[5] Cerise sur le gâteau.
[6] Rien n’empêche de rêver.
[7] Élections.
[8] Se reporter à mon texte intitulé "Ainsi parle un Musulman de France né au Maroc", daté de 1992.
[9] Martine Aubry, fille de Jacques Delors.
[10] Ségolène Royal, qui revendique toujours le trône, ex-épouse de François Hollande, lui aussi prétendant au trône.
[11] Pour qualifier, avait-elle dit, l’effort de ceux qui vont sur la grande muraille de Chine !
Se reporter à mon texte intitulé "Khnizitude".
[12] Au nom du socialisme, de l’esprit "révolutionnaire" et du paradis mis en place par son "tonton" au profit du peuple !
[13] Voir :
http://raho.over-blog.com
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samedi 27 août 2011
« LES GRANDES DÉCOUVERTES »
Des territoires ont été occupés, des populations massacrées, des biens pillés, et des États « civilisés » continuent de parler de « grandes découvertes ».
Des peuples ont été exterminés, des terres accaparées, des richesses usurpées, et des États criminels continuent de parler de « grandes découvertes ».
Des musées remplis de ce qui a été volé aux « indigènes », aux « barbares » sous couvert de mots comme « archéologie », « recherche » et autres, font la fierté des États usurpateurs qui continuent de parler de « grandes découvertes ».
Des tombes ont été dévalisées par des États imposteurs qui continuent de parler de « grandes découvertes ».
Le colonialisme, le néo-colonialisme, l’impérialo-sionisme et les pratiques de domination de ce genre au niveau international, ne ménagent aucun moyen pour continuer d’alimenter la supercherie des « grandes découvertes ».
Leurs crimes contre l’humanité n’arrêtent pas.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Dans les pays dits du « tiers-monde », les régimes mis en place, sanguinaires et tyranniques, veillent à maintenir l’oppression pour servir les intérêts des États dominants, eux-mêmes instruments de forces qui les utilisent à leur guise.
Lorsque ces régimes de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[1] employés des États dominants, ont du mal à accomplir la tâche qui leur est assignée par les employeurs, ou veulent un peu plus que ce qui leur est octroyé, les États dominants interviennent, y compris en « soutenant » des « soulèvements populaires » et des « élections libres ».
Lorsque ces États dominants estiment qu’il est plus sûr d’envoyer leur soldatesque dans diverses parties du monde pour défendre leurs multiples intérêts, ils le font en poursuivant les campagnes d’extermination, les carnages, les vols, les destructions et en répandant le terrorisme et la famine, comme au temps des « grandes découvertes ».
Mais les invasions, les destructions, les massacres, les crimes, les corruptions, les servilités, les compromissions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et autres qui continuent d’user de l’emballage des « grandes découvertes », ne mettront jamais fin à la Résistance des croyants et des croyantes.[2]
Des peuples ont été exterminés, des terres accaparées, des richesses usurpées, et des États criminels continuent de parler de « grandes découvertes ».
Des musées remplis de ce qui a été volé aux « indigènes », aux « barbares » sous couvert de mots comme « archéologie », « recherche » et autres, font la fierté des États usurpateurs qui continuent de parler de « grandes découvertes ».
Des tombes ont été dévalisées par des États imposteurs qui continuent de parler de « grandes découvertes ».
Le colonialisme, le néo-colonialisme, l’impérialo-sionisme et les pratiques de domination de ce genre au niveau international, ne ménagent aucun moyen pour continuer d’alimenter la supercherie des « grandes découvertes ».
Leurs crimes contre l’humanité n’arrêtent pas.
L’invraisemblable est soutenu.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Dans les pays dits du « tiers-monde », les régimes mis en place, sanguinaires et tyranniques, veillent à maintenir l’oppression pour servir les intérêts des États dominants, eux-mêmes instruments de forces qui les utilisent à leur guise.
Lorsque ces régimes de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[1] employés des États dominants, ont du mal à accomplir la tâche qui leur est assignée par les employeurs, ou veulent un peu plus que ce qui leur est octroyé, les États dominants interviennent, y compris en « soutenant » des « soulèvements populaires » et des « élections libres ».
Lorsque ces États dominants estiment qu’il est plus sûr d’envoyer leur soldatesque dans diverses parties du monde pour défendre leurs multiples intérêts, ils le font en poursuivant les campagnes d’extermination, les carnages, les vols, les destructions et en répandant le terrorisme et la famine, comme au temps des « grandes découvertes ».
Mais les invasions, les destructions, les massacres, les crimes, les corruptions, les servilités, les compromissions, les trahisons, les viols, les tortures, les abjections, les cynismes et autres qui continuent d’user de l’emballage des « grandes découvertes », ne mettront jamais fin à la Résistance des croyants et des croyantes.[2]
BOUAZZA
[1] Se reporter à mon texte qui porte ce titre.
"L’indépendance dans l’interdépendance" se traduit, entre autres, par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des États dominants.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
Se reporter à mes textes intitulé "Et après ?", "De la cendre qu’emporte le vent".
Voir :
http://raho.over-blog.com
http://paruredelapiete.blogspot.com
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vendredi 26 août 2011
TOUJOURS SUR LA PATHOLOGIE PERSISTANTE
J’ai déjà consacré quelques lignes aux dégâts du nombrilisme et aux agissements néfastes de ceux et de celles qui font n’importe quoi pour attirer l’attention,[1] et qui refusent d’admettre que c’est une pathologie.
Lorsqu’une personne tente de les aider, ils pensent qu’elle cherche à leur nuire, et s’acharnent par conséquent à s’opposer à elle en dépit du bon sens, à la contredire de manière stupide devant les autres, à ignorer de manière affligeante ce qui ne demande aucun effort pour être retenu, à s’entêter dans les caprices, et à ne faire qu’à leur tête.
Les croyants et les croyantes[2] se doivent de commander le convenable[3] et de proscrire le blâmable[4] : il leur appartient de ce fait de continuer à faire de leur mieux dans ce domaine.
Les médecins soignent, et Allaah guérit.[5]
BOUAZZA
[1] Se reporter à mes textes intitulés "Pathologie persistante" et "Encore sur la pathologie persistante".
[2] Almouminoune wa almouminaate.
[3] Alamr bilma’rouf (le "r" roulé).
[4] Annahy ‘ani almounekar (le "r" roulé).
[5] Voir :
http://raho.over-blog.com/
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